phvdhattedoael ht Le Soleil de Colombie, Vendredi 25 Mars 1977 13 | 4] i | _ Un peu fort de café! as enceinte? is Le prix du café au détail a pouvoir d’action sur les prix formation n’ont pas encore été _‘ralentiront le taux d’augmenta- par Vicki BUCKWOLD macnn ianpiaanie teens peer Are: Shlain NONI Si pe ct aera ys plus que doublé depuis janvier 1975. Cependant, la situation aurait pu étre pire si l'on consi- dere que le prix du café brut en grains a atteint plus de trois fois et demie sa valeur au début de la méme période. Le prix du café brut en grains était, dans le cas du _ café torréfié, de 70 cents la livre en juillet 1975, alors qu'il s‘éleve maintenant a environ $2.60 la livre. Toutefois, les prix n‘ont pas augmenté dans la méme proportion dans les super- marchés. Les colts de transfor- mation et de distribution a lintérieur du Canada n’‘ont pas totalement reflété cette hausse, et le prix de détail du café torréfié est passé d environ Internationaux du café mais on peut constater un effet de restric- tion sur la partie des opérations effectuées a |"intérieur des fron- tiéres canadiennes. I] apparait que l’écart entre le prix du café brut en grains et le prix de détail s‘est réduit au cours des deux derniéres années. Au cours de I’année 1976, les transformateurs ont maintenu leurs prix bien au-dessous des indicateufs et auraient pu les augmenter beaucoup plus. La situation est comparable dans le cas du café instantané. L’impact de |’augmentation du prix des grains bruts, qui a triplé, a été amorti au niveau des consommateurs. Le prix du café transformé au détail n’a pas encore doublé. pleinement répercutés et se traduiront par une hausse des rix de gros. Toutefois, une aisse de la consommation et la fin du stockage des consom- mateurs tendront a contenir la hausse et, de fagon générale, tion des prix de détail dans un avenir prochain. Nous pouvons entrevoir la fin de la montée en fleche du prix du café méme si certaines augmentations surviendront prochainement. Etes-vous enceinte? Voulez- vous avoir un bébé le plus sain possible? Savez-vous que: — Les bébés qui pésent entre 7/4 et 9 livres ala naissance sont les plus sains. — Les bébés qui pésent moins de 6% livres a Ja naissance ont souvent des problémes tels que des difficultés d’apprentissage, ils sont plus suiets aux infec- tions, ils ont des maladies et des handicaps physiques. — Les méres qui s’alimentent mal ont des plus petits bébés. — Les femmes enceintes de- vraient prendre au moins 25 livres avant ]’accouchement. $1.30 ta livre en janvier 1975 a $3.00 la livre en février 1977 (soit une augmentation de valeur de deux fois et demie, compara- tivement a trois fois et demie dans le cas des grains bruts). s (Nota: les chiffres portent sur un échantillon dune marque de café.) — Les méres qui fument durant leur grossesse ont des bébés plus petits. Le corps de votre bébé est fait de ce que vous mangez, et vous étes la seule source de nourri- ture de votre héhé avant l’accou- chement. Avoir une alimentation saine et compléte pendant que vous étes enceinte augmente les possibilités de donner naissance a un enfant plus équilibré. Une étude du marché effec- tuée par la Commission de lutte contre - Vinflation laisse appa- raitre que, méme si nous subi- rons d'autres hausses du prix du café au détail, la tendance pour- rait avoir atteint sa limite. Apres une breve pause en janvier dernier, le prix des grains de café brut a encore | augmenté. Les colts de trans- Le Programme ~anti-infla- tionniste du Canada n’a aucun : Si le sujet vous intéresse, il existe une organisation qui peut vous aider: “Healthiest Babies Possible” (Les bébés les plus Le péche d’ inflation bats. L’inflation a de multiples causes et les spécialistes.eux- mémes ne s’accordent pas sur les meilleurs. moyens pour la com- battre. Les prix internationaux, les dépenses gouvernementales, les prix a la. ferme. et:bien d°autres vent, *dans un con- texte propice, susciter des pres- sions inflationnistes. Etant donné que les individus ne peuvent raisonnablement espérer exercer une influence décisive sur ces facteurs, la question reste posée: comment un individu peut-il lut- ter contre les causes de linfla- tion? Cela peut paraitre étonnant, mais c-est un fait que le terrain le plus propice au développement de linflation est constitué par les attitudes et létat d°esprit des différents groupes sociaux. En voyant les prix augmenter, les travailleurs réclament des salaires plus élevés pour pouvoir continuer a se procurer les biens et services qui constituent leur niveau de vie. Au méme mo- ment, ceux qui vendent les biens et services haussent leurs prix pour faire face aux augmenta- tions de colts suscitées par les revendications salariales. On as- siste alors 4 une véritable course entre les prix et les salaires. Pour ce qui est des consommateurs, il importe peu de savoir si ce sont les salaires qui poussent les prix ou si ce sont les prix qui tirent les salaires. Le résultat est le méme: des pressions inflationnistes. Que se passe-t-il en fait lorsque cette ‘‘psychose™’ in- flationniste est ainsi déclenchée? Tout d°abord, les fournisseurs de biens et services partent du point de vue que les consommateurs désirent leurs produits assez intensément pour accepter de payer un prix plus élevé. De leur cété, les travailleurs se disent que, puisque |’employeur a aug- mente le prix de son produit et a de ce fait réalisé un plus gros bénéfice, il a les moyens d‘ac- corder des hausses de salaire. L‘aspect probablement le plus dangereux du processus in- flationniste apparait lorsque les travailleurs et les employeurs commencent a demander les salaires et les prix qu’ils jugent suffisants pour se protéger non seulement contre | inflation présente mais aussi contre | ‘infla- tion future. ibys Programme anti- inflationniste a atteint son objec- tif initial — ramener a 8 pour cent le taux d’inflation pendant la premiére année du Programme — et on a de bonnes raisons de croire qu’il atteindra son objectif de 6 pour cent pour la deuxiéme année. Mais pour. venir vraiment a bout de l’inflation, les Cana- diens doivent accepter des haus- ses modérées de salaire et de prix, sans anticiper sur |’inflation future. L’inflation ne sera vain- cue au Canada que lorsque les Canadiens n’inclueront plus dans leurs demandes un Syoplement pour se protéger contre les haus- ses futures des prix ou du colt de’ la vie. Fig ice RIOTS Coiffures GP de styles ' créations modernes oe ee St Des sacs de café destinés 4 !’exportation sont entreposés dans le port de Santa Marta (Colombie) Réduction de primes OTTAWA — La Commission de lutte contre l’inflation a accepté un plan soumis par la Wawanesa Mutual Insurance Company de Winnipeg prévoy- ant de rembourser une somme prévue de $3.5 millions a ses clients par le biais de réductions sur leurs primes d’assurance automobile a compter du ler avril. Le montant de $3.5 millions représente le ‘‘surcroit de recet- tes’ accumulé pendant |'exer- cice terminé le 31 décembre 1976. Quelque 200 000 détenteurs de police sont concernés par les réductions de taux de la Wawanesa et environ 90 pour cent d’entre eux constateront une réduction directe de leurs primes jusqu’a dix pour cent par rapport a leur derniére facture. Le montant réel variera d'une région a |’autre selon le coat de la souscription. Les circonstances qui ont provoqué le surcroit de recettes, a savoir une baisse marquée du coat des créances d’assurance, ont également touché d’autres compagnies d’assurance au- tomobile. En novembre, -la Insurance Corporation of British Columbia a annoncé qu’elle remboursait $58 millions aux détenteurs de police et, récemment, la Co- operators Insurance Association de Guelph a déclaré qu'un sur- croit de recettes d’environ $12 millions réalisé en 1976 serait remboursé a ses détenteurs de police sous forme d’un plan de crédit de primes. Apres trois années de lourdes pertes sur les polices d’assu- rance automobile, les compag- nies d’assurance ont constaté qu’un revirement avait eu lieu dans toute la branche en 1976. La baisse des réclamations pour _ accident est due a la nouvelle législation sur les ceintures de sécurité, a la réduction des limites de vitesse et au nombre moins élevé d’ accidents. La Commission a accordé a la compagnie Wawanesa une période d’ observation prolongée de douze mois au lieu de la période normale de six mois pour rembourser les $3.5 mill- ions a ses clients afin d’en faire bénéficier a la fois les détenteurs dune police annuelle et semes- trielle. sains possibles). A votre deman- de, un conseiller sera envoyé chez vous. Ce service vous est offert gratuitement. Leur numé- ro de téléphone est le 733-6916. Pour de plus amples rensei- gnements sur ce sujet ou sur d’autres, téléphonez-moi au Centre Info ou venez me voir. Je me ferai un plaisir de vous aider. CENTRE INFO 791, ouest 16éme avenue Vancouver Tél. 873-1011 Marchez, c'est gratuit! a. Marchez. Dés aujourd'hui. La bonne cuisine Cretons a la Québécoise « 2'/ livres de lard haché dans l'épaule. 1c. athé de clou de girofle rond écrasé 1 pointe d’ail 1 gros oignon cannelle, sel, poivre. Cuuire a feu doux le lard haché a part avec l’oignon et 1‘, d’eau pendant 1% heure ,ajouter les épices et cuire une heure de plus. Verser dans des plats et laisser refroidir. eR a aE Sucre a la créme 5 tasses de sucre blane % bofte de lait concentré sucré Faire bouillir le tout a 250°F ou jusqu’a l’obtention d'une boule ferme dans l'eau, ajouter un gros paquet de guimauves, faire fondre. Brasser au malaxeur ou a la main de 15 a 20 min. ou jusqu’a ce que le sucre a la créme commence a rendre. 1 tasse de lait 1% livre de beurre 2 tasses de sirop de mais Ajouter noix et vanille a votre gofit. Diviser le sucre alacréme et ajouter 4 une partie 4 morceaux de choco- lat fondu. Verser dans des plats beurrés, conserver le sucre a la créme dans des boftes métalliques. & Aw «