Pras bs Ja physique.plutot..mor, neta Connaissances d’auj. samedi 18, 16h 00 L’optique quantique A Yémission radiophonique Connaissances d’aujourd’hui, le samedi 18 avril 4 1@ heures, a Radio-Canada, Jean-Claude Car- dinal, de Québec, interviewe M. Albéric Boivin, du laboratoire d’optique et d’hyperfréquence de Vuniversité Laval. : Il lui demande tout d’abord de tracer un bref apercu historique de Vinstitut national d’optique de Vuniversité Laval et de décrire les effectifs de linstitut. Pendant plusieurs années, on a considéré, a.tort ou a raison, que l’optique était un domaine de constate, depuis environ dix ans, en physique, que la situation a changé du tout au tout. Il sem- ble que nous assistions mainte- nant a des transformations et a des développements qui fascinent tous ceux qui s’intéressent aux sciences. On demande alors a M. Boivin d’indiquer et d’expliquer les causes de ce renversement as- sez spectaculaire. L’animateur pose ensuite 4 M. Boivin une série de questions. «Qu’entend-on au juste par opti- que quantique?» «Reste-t-il en- core des problémes en optique classique?» «Quels sont les prin- cipaux sujets de recherche a J’ins- titut national d’optique et quels sont les principaux projets d’ave- nir du directeur?» A notre époque, ot le problé- me des débouchés, en physique, se pose d’une facon plus aigué que jamais, envisage-t-on la pos- sibilité d’une interaction entre l’institut d’optique et l’industrie?. On demande enfin a M. Albé- ric Boivin si, de facon trés gé- nérale, il est possible d’entrevoir les effets éventuels de ses tra- vaux de recherche sur la société. Laboratoire d’optique et d’hy- perfréquence, a Comnnaissances d’aujourd’hui, le samedi 18 avril a J@ heures. Animateur 4 Qué- bec: Jean-Claude Cardinal. Ani- mateur a Montréal: le professeur Jean Le Tourneux. Réalisateur: André Langevin. Concert de Radio-Canada (enregistrement: vendredi 17) Les Mercredis de la musique (diffusion: le 22, 20 h 60) Concert du Choeur Kattialine fondé et dirigé par Jean-Francois Senart «Le choeur Kattialine est cer- 4t ON ;tainement l’un de nos_plus beaux... ensembles choraux. Les voix sont jeunes et belles (j’insiste sur ces deux points), l’équilibre entre el- les est impeccable et le style d’interprétation est de grande classe...» Voila ce qu’écrivait le critique musical du quotidien montréalais La Presse, Claude Gingras, dans une de ses chroniques ot il com- mentait un récital donné par ce choeur. C’est justement ce Choeur Kat- tialine qui est inscrit au program- me du prochain Concert de Ra- dio-Canada, concert qui sera en- registré le vendredi 17 avril a 20 h@0, a la salle Claude-Cham- pagne, 200 chemin Bellingham, Montréal. : Le choeur Kattialine existe maintenant depuis huit ans; huit années au cours desquelles, par- tout ot il s’est produit, il a sus- cité un intérét croissant. Fondé et~ dirigé par Jean- Francois Sénart, c’est a celui-ci que le choeur doit, pour la plus grande part, son dynamisme et sa qualité musicale. Jean-Francois Sénart est d’ori- gine francaise et plus précisément du Pays basque. Ii a choisi le nom «Kattialine» pour sa «con- sonance musicale trés lumineu- se». Kattialine est l’équivalent basque du prénom féminin Ca- therine. . C’est dans la salle de l'Union frangaise, en. mai 1962, que le choeur s’est manifesté pour la premiére fois. Depuis lors, il s’est signalé a l’attention du pu- blic, tant sur la scéne qu’a la radio ou a la télévision. Ainsi, sur les ondes de Radio-Canada, ‘a la série d’émissions Chorales du Canada frangais des années 1963-64 et 65. En 1967, le choeur a surtout travaillé un répertoire de fol- klore international, en vue de lexposition universelle. Le choeur fit plusieurs apparitions a Expo et fut également invité a partici- per aux fétes du centenaire de la Confédération sur la colline parlementaire, a Ottawa. Une grande année 1968 fut la premiére de ses grandes années. Kattialine rem- porte, au Festival de musique de Québec, le premier prix de la section chorale. Un peu plus tét dans l’année, il avait été invité a -participer 4 la trame sonore dun long métrage québécois et avait également enregistré, avec Jacques Douai, une émission de télévision consacrée 4 la musique de la Renaissance frangaise. Mais ce qui devait Jui donner . un nouvel élan, c’est le jume- lage avec la chorale universitaire de Montpellier, sans oublier de trés nombreux concerts aussi bien 4 Montréal qu’en province. Le Soleil de Par contre, l’année 1969 doit étre placée sous le signe des voya- ges, dont une tournée en France sous les auspices de l’OFQJ et lenregistrement d’un premier mi- crosillon qui est, selon son fonda- teur, «le reflet d’une étape dans le cheminement musical du choeur». Toujours pour Jean-Francois Sénart, «le choeur tend vers une qualité musicale de plus en plus eXigeante, avec des «amateurs» au vrai sens du terme, c’est-a- dire avec des jeunes qui donnent de leurs temps etyde-leurs éner- gies, simplement parce qu’ilsai- ment se retrouver ‘pour chgnter et diffuser autour d’eux une mu- sique qui refléte leur joie de vi- vre». Les mélomanes qui suivent les Concerts de Radio-Canada pour- ront les’ entendre dans un pro- gramme trés éclectique compor- tant des chants de plusieurs pays. Pour ce concert, les billets (gratuits) seront disponibles 4 la réception de Radio-Canada A compter du lundi 13 avril. Par la suite, cet enregistrement pourra étre entendu lors des Mercredis de la musique, le 22 avril a 20 h GO, a Ja radio de Radio- Canada. ~ Vancouver,page 7, ‘Ty avril 1970. ~ BR ee ee ee ee! a ee Ge a a a aeneeatn te ee