Sur le cable KELOWNA 1 KAMLOOPS 1 TERRACE 1 PRINCE Programmes de la télévis DAWSON CHILLIWACK KITJMAT 2 3 3 GEORGE 6 8 1 3 CREEK ision francaise de Radio- Canada VENDREDI 16 AOUT 1985 La Baleine du bout du monde samedi 17 aout 1985, 19h30 Cinéma Le théme des relations entre Vhomme et la nature est exploité 4 merveille dans La Baleine du bout du monde, un film aux images magnifiques, tiré d’un roman du célébre écrivain cana- dien Farley Mowatt. Il sera pré- senté a la télévision de Radio- Canada, le samedi 17 aoat a 19h30. Pris dans une violente tem- péte, Charles Landon et sa fa- mille voient leur voilier s’é- chouer prés du petit village de Barrisway a Terre-Neuve. Un peu comme eux, une grande ba- leine est entrainée dans la baie ou elle reste coincée & cause de sa taille. Un baleinier pirate russe offre 30 000 dollars aux villageois pour celle-ci. Une lutte s’en- gage alors entre Charles qui veut sauver l’animal a tout prix et ceux qui cherchent a tuer la ba- leine pour toucher I’argent pro- mis. Charles regoit l’appui d’un vieux marchand. Ensemble, ils tenteront de nourrir la baleine, sans grands résultats. Pendant ce temps la tension monte alors que l’appat du gain fait perdre la téte a certains. Dans cette lutte inégale ow il sera lui-méme me- nacé, Charles sera un homme transformé, il aura trouvé un sens a sa vie. Peter Strauss, bien connu des téléspectateurs pour ses réles dans Les Jordache et Massada incarne avec brio le réle princi- pal. Il est entouré de Richard Widmark, Dee Wallace et Bruce McGill. Réalisateur: Ri- chard T. Heffron. Dee Wallace et Peter Strauss dans le film «La Baleine du bout du monde» présenté le samedi 17 aotit 4 19h30 a Radio-Canada. Lucille Dumont du lundi 19 au vendredi 23 aofat 1985, 12h33 Avis de recherche «Rien ne remplace un public. Sentir qu’on fait rire les gens, qu'on les émeut, qu’on leur .transmet quelque chose qui les fait vibrer, c’est la plus belle satisfaction». Cet aveu sincére _ et spontané de Lucille Dumont exprime la conviction profonde de cette grande vedette de la chanson québécoise qui, depuis une quinzaine d’années, dirige l’Atelier de la chanson, une école qui a produit quelques-uns des meilleurs interprétes d’au- jourd’hui.°C’est un fait que les téléspectateurs de la chaine frangaise de Radio-Canada pourront vérifier facilement lorsque les éléves de 1’ Atelier de la chanson de l’année 1972- 1973 viendront, pendant la se- maine du 19 au 23 aoit a 12h33, a 1’émission Avis de re- cherche, renouer leurs amitiés et rendre hommage a leur «prof» Lucille Dumont, l’invitée des animateurs Gaston L’Heureux et Aline Desjardins. Quelle belle carriére que celle de Lucille Dumont qui fut la premiére chanteuse a recevoir le titre de Miss Radio, en 1947, dix ans aprés ses débuts a CKAC, sous la houlette de Léo LeSieur. En méme temps qu’a la radio, Lucille Dumont fut aussi la vedette des plus grands clubs de nuit de Montréal avant de poursuivre sa carriére a la télévision de Radio-Canada dans des séries aussi populaires qu’«A la romance», «Music- hall», «A guichet fermé», etc. Quand on relit les critiques de presse de cette époque on s’a- pergoit que Lucille Dumont a toujours conservé la cote d’a- mour auprés du public tant pour le choix de ses chansons que pour son interprétation aussi na- turelle que distinguée. Si vous voulez revivre quel- ques unes des belles heures de la chanson d’hier et d’aujourd’hui, Ey et éléves rendent un émouvant amihace a Lucille Dias a «Avis de recherche», du lundi 19 au vendredi 23 aoit a 12h33. regardez les émissions de la sé- rie Avis de recherche, du lundi “19 au vendredi 23 aoit a 12h33, a la télévision de Radio- Canada. Réalisation: Monique Lamarre. A premiere vue du mercredi 21 aoat au dimanche 1* septembre 1985 Chantal Jolis et René Ho- mier-Roy, animateurs de 1’é- mission A Premiére yue, cou- vriront le Festival des films du monde qui se tiendra du 21 aoit au I septembre 4 Montréal, a raison d’une émission quoti- dienne d’une durée de trente mi- nutes, 4 compter du mercredi 21 aoit a 18h30 En plus de rendre compte et de voir le plus grand nombre de films, nos animateurs feront des entrevues sur le vif avec des ci- néphiles, cinéastes, membres du jury et vedettes internatio- nales. Réalisation: Gary Plaxton. Diffusion du mercredi 21 au vendredi 23 aoit, 18h30 dimanche 25 aoit, 18h30 (en re- prise & 23h15) du lundi 26 au vendredi 30 aoit, 18h30 samedi 31 aoft, 18h05 > dimanche 1° septembre, 18h30 Bs René Homier-Roy et Chantal Jolis au «Festival des films du monde», du mercredi 2] aotit au dimanche I* septembre. Chisum. jeudi 22 aout 1985, 19H35 Les Grands Films ~Si vous aimez les westerns re- gardez Les Grands Films du jeudi 22 aodit a 19H35 qui pré- senteront Chisum, une réalisa- tion d’Andrew V. McLaglen mettant en vedette John Wayne, Forrest Tucker, Geoffrey Deuel et Linda Day. En 1878, John Chisum pos- séde un immense ranch au Nou- veau-Mexique. Les manoeuvres ambitieuses et malhonnétes d’un commercant, Murphy, ennuient Chisum au point qu’il s’associe avec un voisin, Tunstall, et un jeune avocat, McSween, pour lancer des en- treprises rivales. Tunstall est bient6t assassiné par des hommes au service de Murphy. et l'un de ses cowboys, William Boney dit Billy The Kid, jure de le venger. I] s’ensuit une série d’escarmouches qui se termi- nent par le sige du magasin de McSween ou le Kid s’est réfu- gié. Une fusillade en régle se poursuit au cours de laquelle Chisum affronte personnelle- ment Murphy. Un film inspiré par un incident réel de | histoire de |’Ouest américain. 4 < John Wayne est la vedette de «Chisum», aux Grands Films du jeudi 22 aout a 19835. Vivre et laisser mourir lundi 19 aoat 1985, 19h35 James Bond Dans la série des James Bond que la télévision de Ra- dio-Canada propose 4 ses télé- spectateurs, on présentera le lundi 19 aodt a 19h35, Vivre er laisser mourir (Live and Let Die) d’aprés un roman d’lan Fleming qui met en vedette Ro- ger Moore, Yaphet Kotto, Jane Seymour et David Hedison. Trois agents britanniques sont assassinés le méme jour a New York, a la Nouvelle- Orléans et dans I’ile de San Mo- nica. Chargé d’enquéter sur cette affaire, James Bond recoit l’assistance de ses collégues de la C.I.A. I] acquiert la certitude que le président de San Monica, Kananga, est a la téte d’un vaste réseau de trafic d’héroine et qu’il s’appréte a inonder le marché. Fait prisonnier par Ka- nanga, |’agent secret parvient a s’échapper puis vole au secours d’une jeune fille qui lui est ve- nue en aide. Par la méme occa- sion, il vient a bout de Kananga. Un drame policier réalisé par Guy Hamilton. Roger Moore personnifie James Bond dans «Vivre et laisser mourir> @ la télévision de Radio-Canada le lundi 19 aotit 4 19h35. Suite des programmes TV page 10