oreo" ese" ”,” COO OOOO) "rere oe OO KD PN UG . OOOO "e) PII) 6 7 Spe nimipypespeipeasupessei apt rerenoceTerecesececereceserscerceenecteestetee 6 o VOOOOOG - so! ! oy, ostetetetatats 5 iis sn pe.t.e orecenatstatetete SOO ARRAS POOR 50 LE SEUL HEBDOMADAIRE DE LANGUE FRANCAISE DE LA COLOMBIE-BRITANNIQUE Conseil d’administration: ; A.Piolat J.Baillaut N.Therrien ‘ Directeur: André Piolat Rédacteur: Roger Julien Secrétaire: Marguerite Batut PUBLIE. PAR LE SOLEIL DE COLOMBIE LTEE, 3213 rue Cambie, Vancouver 9 Téléphone :; 879-6924 Courrier de deuxiéme classe sous le numéro d’enregistrement 0046 LES HEBDQS DU CANADA x ise! SER OOO 'e! receces rereee' ‘aan a a na! ’ , , KS re Bs Bs % re Pete i . aS aaa are' See) Par Jean Dussault Diffusé le 18 septembre 1974 CBUF-FM ,Vancouver Manna nana a! a Lica asaeaanl COMPAGNIE D’ASSURANCE DE COLOMBIE-BRITANNIQUE 18 millions, 30 millions, 100 millions, mauvaise ad- ministration, fouillis bu- reaucratique, subventions déguisées. © Voila autant d’attaques lan- cées contre la societé d’as- surance de Colombie-Bri- tannique qui arrivera bien- tot, semble-t-il, essoufflée, 4 la fin de son premier exer- cice financier. Pour des gens qui accusent le gouvernement de faire au- tant de gaffes qu’il pose de gestes, les critiques sem- blent cette fois étre 4 court de bouc émissaire. Méme que la cible de leurs diatribes, la société d’as- surances, ne se porte pas si mal. La question-n’est pas d’évaluer arbitrairement le déficit d’une entreprise mais bien plus d’en comprendre le principe. D’abord, si déficit il y a, il n’est que normal qu’il soit absorbe par le gouverne- ment, c’est-&a-dire au bout de la ligne par les contri- buables. Ceux qui utilisent le Pont Lions Gate une seu- le fois par semaine ne paient pas moins cher de taxes que ceux qui y pas- sent tous les jours: c’est ld la raison méme des ta- xes et impdts: répartir en- tre plusieurs un codt trop onéreux pour un seul. . répétés que réguliers, Je’ me demande aussi si je dois rire oupleurer quand les créditistes du nord de la province réclament la dis- solution de ICBC parce que cette société ne serait pas rentable. Je pourrais bien leur répondre: Eh bien! con- gédions tous les présidents, les officiers et les employés de toute compagnie qui ne realise pas de profits 4 sa premiére année d’existen- ce; démolissons tous _ les édifices que les acheteurs n’ont pas payés comptant! Argument ridicule de ma part? Je ne pense pas. C’est plu- tOt une réponse ridicule 4 un argument ridicule... Un, autre point m’amuse singuliérement dans_ cette affaire. A intervalles aussi la population de cette province se plaint d’étre délaissée, que 1’Est du pays décide pour le pays tout entier. Pour autant que je sache, la société d’assurances de Colombie-Britannique est bien quelque chose d’ici. Je ne vois donc pas de logique a preférer verser des pri- mes d’assurance a des com- pagnies privées de l’Est du pays, quand ce ne sont pas des compagnies de New York ou Washington. ; FCG GO a ok kok 90k La PATIENCE est une vertu que l'on apprécie chez l’automobiliste qui nous suit, et que l’on méprise chez celui qui nous précéde. Trl tere ST ce LIVRES SR poses o QUE DE‘LIVRES. te eae aa oe oes 5 eo DE =~. FRANCAIS -- ANGLAIS — (-Romans, aventures, etc...) _ NOUS AVONS UN BESOIN URGENT DE LIVRES DE POCHE: NOUS AVONS PLUS DE CLIENTS La Librairie LE SOLEIL 3213 rue Cambie. Vancouver 9 USAGES. fo TD , Chronique du Canada Frangais | {LA FEDERATION DES FEMMES CANADIENNE-FRANCAISES | * Elle célébre cette année son 60éme anniversaire. La Fé- dération des Femmes cana- diennes-francaises existe depuis 1914. Fondée 4 Otta- wa par Mme Paul-Eugéne Marchand, avec un groupe de dames d’Ottawa et Hull, elle avait pour but de venir en aide aux soldats ca- nadiens-fran¢ais et 4 leurs familles. En 1915, le Réglement XVII du gouvernement ontarien interdisait l’enseignement du francais dans les écoles de cette province. Les mem- bres de la Fédération ap- puyérent les revendications de la minorité fran¢aise en Ontario. En plus de monter la garde dans les écoles sé- parées, d’en interdire l’ac- cés aux agents provinciaux, elles prélevérent les som- mes nécessaires au chauffa- ge de ces écoles durant l’hi- ver. L’oeuvre se vouait déja a la défense de la culture francaise et s’implantait aux quatre coins de la province. Sa viabilité assurée, les sec- tions paroissiales s’ajustai- ent au contexte social d’a- lors et multiplidient les ac- tivités, selon les besoins de l’heure et du milieu, dans di- verses sphéres de lasociéteé, Les buts visaient 4 assister la femme dans son devoir de mére de famille, éducatrice, gardienne de la race et des traditions 4 conserver dans les foyers catholiques la foi, le . parler ancestral, les moeurs saines; 4 favoriser l’harmonie entre les groupes ethniques du Canada. La Fé- dération a accordé une aide généreuse et soutenue aux domaines de 1’éducation, de la bienfaisance et du bien- étre social, tout en collabo- rant pleinement avec le clergé pour subvenir aux besoing des paroisses. rojeresese.eeee. “ dés maintenant. Be Ba * ee Polehetete®, rete’ NO Ms:. de= GOUPON D’ABON | N’attendez pas | plus longtemps! | ——sABONNEZ-VOUS AU : SOLE ILe¢e Colombie 3213 rue Cambie, Vancouver 9, C.B. Tél. 879-6924 _ Seulement $7.00 Remplissez la formule ci-dessous et po En 1973, devant le réle nou- veau dévolu 4 la femme, les membres ont reconnula né- ecessité d’une ré-orienta- tion pour répondre aux be- soins de la société actuelle. Reconnaissant leur potentiel _comme étre humains vivant dans une communauté, elles réalisent l’importance de leur contribution et de leur influence, de leur engage- ment total; vis-a-vis de 1’é- volution et des perturbations qui en résultent, elles a- vouent avoir A maintenir l’équilibre pour assurer u- ne stabilisation souhaitable. Devant ces impératifs exi- _ geants, elles ne peuvent dé- missionner et, pour 6tre en mesure de répondre adéqua- tement aux problémes qui se posent de toute part, la Fédération a reconnu avoir & se préoccuper davantage de la femme. Aprés une é- tude approfondie, elle s’est done donné comme buts: de conserver la culture fran- caise et la foi catholique; de travailler 4 1l’épanouisse- ment de la femme canadien- ne-frangaise dans les do- maines de 1l’éducation sco- laire et familiale, de l’éco- nomie, de la culture et de la politique, de promouvoir la bonne entente entre les groupes ethniques du Ca- nada. La FFCF compte actuel- lement -81 sections répar- ties en 12 régions dans 4 provinces du Canada: On- tario, Québec, Saskatche- wan, Alberta. Elle étendra son champ d’action 4 plu- sieurs autres régions dans un avenir rapproché; le tra-. vail d’expansion se pour-— suit selon les possibilites financiéres et les ressour- ces humaines disponibles. Hommage .et longue vie A la Fédération des Fem- mes canadiennes — frangai- ses! Veuillez trouver ci-joint lasomme de$.......... pour () abionnement, € )renouvellement -au Soleil de Colomhie. J’inclus aussi la somme de $....... pour donen aide au journal. stez-nous la avec votre chéque com merce international par Marguerite Batut Jeudi dernier, avait lieu 4 l’HOétel Hyatt Regency, 655 rue Burrard, 4 Vancouver, une réunion de divers repré- sentants des Chambres de Commerce du Canada, Moy- en-Orient et Afrique du Nord, qui ont discuté avec a des industriels et fabricants du Canada, des moyens de faire des affaires avec ces contrées lointaines. M. Saint-Pierre, qui repré- sente le Canada en sa quali- té d’Ambassadeur A Té- gérie et d’autres représen- tants du Lyban, Irak, Iran, Syrie, ont expliqué les di- verses questions et problé- mes 4 regler avant de pou- voir faire un commerce pro- fitable. Il faut d’abord que le Cana- da connaisse les besoins de ses régions (ne pas vendre des produits dont ils n’ont que faire, ne vivant pas com- me le monde de 1’Ouest), mériter leur confiance, les aider 4 s’élever de leur condition ordinaire, leur procurer, docteurs, insti- tuteurs, guides commerci- aux. Plusieurs canadiens qui sont allés 1a-bas ont trouvé tout 4 fait differentes les fa- gos de traiter les affaires, a moralité est toute parti- culiére et si l’on peut s’ex- primer en anglais, il faut a Savoir aussi le francais et une connaissance de l’arabe serait souhaitable. L’Egypte est actuellement intéressée par les capitaux étrangers. Dans les pays du pétrole, il serait bon d’y vendre de loutillage, du matériel de production. — Ottawa est a la disposition de toute personne ou groupe envisageant d’approcher ces contrées, de leur faire é- ventuellement suivre des Stages commerciaux et des brochures seront mises pro- chainement 4 la disposition de tous les industriels ou commerc¢ants canadiens OO OID OR OO OS PIII PPD PPP ODD PPro OOOO Oe retetere. erecta! Sree SOOO ieleletete rele? PP 2.%,2, Oot ateheMetetatet ete e%”, rene te cere 2.2.8.8, pace anatstenets ADRESS E: ‘. r ECCT CC CES SRK KKK KER) VILLE. "erect etetee! 20 Nis sratet eee: 3,50 v6 8 8 8 rata tatetete’, “PROVINCE: -=.8, ate DA Tes Autres pays $10.00 héran, M. Gosselin de PAl- _ 4