LA PHOTO par Lucien BELLIN Le diaphragme est un systéme qui peut s’ouvrir 4 la grandeur de la_ len- tille, pour laisser la lu- miére passer au maximum ou se fermer 4 un tout pe- tit point, pour ne laisser passer qu’une fraction de lumiére. Diaphragme d’un appareil So min. Le diaphragme peut ¢tre ajuste Adifférents nombres d’ouverture de F-1.4, F.16 F.22. L’ouverture du dia- phragme est aussi appe- lée F-Stops ou Stops. Chaque type a eté concu pour que chaque ouvertu- re ne laisse passer quc la moitié de la luméére: par exemple, F-4 laisse rentrer la moitié de la lumiére de F-28; F-8 lais- se rentrer 2 fois plus de lumiére que F-4; comme vous le voyez, c’est assez simple. Si vous commen- cez par l’ouverture mi- La position du diaphrag- me a Pouverture F.16 don- ne un champ de profondeur de netteté en avant de vo- tre sujet ainsi qu’a l’ar- riére-plan, et plus 1|’ou- verture est grande, plus ce champ. de profondeur diminue et ]’arri¢re-plan devient alors flou. Diaphragme ouvert A «16 jeseanw. av T <4 SIL Diaphragme ouvert 4 1.8 nimum F-22, ouvrir un En résumé, une ouvertu- stop, c’est aller 4 F-16, re F-2.8 donne un champ qui laisse entrer le dou- de profondeur trés court ble de lumiére, et ainsi en ouverture minimum ct de suite. . en F-22 on obtient la plus grande profondeur de champ de vision. Le Focus est un systé- me d’ajustement a ba- rillet dont les _ lentilles sont ajustées sur ce sys- téme ce qui permet, en tournant dans un sens ou un autre, de mettre votre sujet en focus. Dans les appareils simples, le portrait, le groupe ou le paysage déterminent 3 - longueurs de champ de vi- sion. Dans les autres, plus développés, vous avez le double systéme ‘‘reflex’’, qui vous fait voir deux i- mages opposées et lors- qu’elles se superposent, votre sujet est alors en focus. Monsieur veut-il lire son SOLEIL de B COLOMBIE 4 Be ‘‘Of course! Lucien’’ Pas besoin d'aller au Québec Le College Universitaire Saint-Jean de l’Université de l’ Alberta est la pour vous aider - Si vous désirez faire votre université en frangais - dans une atmosphére académique des plus enviables - avec des professeurs de premiére qualité Pour de plus amples renseignements: COLLEGE UNIVERSITAIRE SAINT-JEAN de Université de lAlberta 8406 - QYle rue, Edmonton, Alberta T6C 469 Tel. (403) 466-2196 ae eae Le Soleil de Colombie, 28 février 107 5emul Graphoanalyse par Francois Dubuc Graphoanalyste diplome. Membre de la Société Canadienne de Graphoana- lyse AVEZ - VOUS DEJA REMARQUE Je ne sais pas sivous 1’a- vez déja remarqué, mais, Mademoiselle Coté fait ses ««r? comme ceci:x+, Ma- dame Dussault les fait de cette fagon et M. Tousignant de la maniere suivante: € De leur cdté, Messieurs Belisle et Lassonde tra- cent respectivement leur ‘‘a’? de cette fagon: G@ - @ , tandis que Made- moiselle Fortier le fait de cette maniére: Q- Nous, les graphoanalys- tes, l’avons immediate - ment remarqué, voire mé- me enregistré, car nous €- tudions les traits de l’écri- ture. Pour nous, chacun des traits asa signification propre et l’ensemble de tous. les traits compris dans l’écriture, évalués les uns par rapport aux autres, nous permettent de déterminer la nature de leur caractére, de leur personnalité ou de leurs aptitudes. En somme, engraphoana- lyse, On tient compte des traits et non de l’écriture en général, on étudie leur direction, leur inclinaison, leur pesanteur, leur lon- gueur, leur forme, etc... la précision est assurée grace a l’emploi systema- tique d’instruments précis et appropries. En fait, si nous nous ha- sons sur ce simple ‘‘t’’ ou ‘*a’’, nous nous rendons vite compte que ces per- sonnes different entre el- les. Mais nous ne pouvons absolument rien conclure 4 partir d’un simple trait d’écriture; nous devons nécessairement analyser tous les traits possibles et imaginables qui composent l’écriture de nos scrip- teurs. Et finalement, lorsque nous .aurons décortique tous ces traits differents, nous pourrons les évaluer les uns par rapport aux autres, pour finalement en arriver a une analyse la plus compléte possible de leur caractere. Au fait, avez-vous deja remarqué de quelle fagon vous traciez vos ‘‘p’’. + + Faudrait peut-étre voir un . . egraphoanalyste! ! ! N.B.- Si vous désirez de plus amples renseigne- ments sur la science de la Graphoanalyse Ou si vous étes intéressés (ees) par une Graphoanalyse com- plete et précise de votre écriture, veuillez commu- niquer par lettre au So- leil de Colom ie, au soin de Francois Dubuc, 3213 rue Cambie, Vancouver. 1é1: 879-6924 ou 731-7618 (rés’) - ENTRE Par Jean-Claude Arluison En cette période d’infla- tion et de difficultés €cono- miques, tout le monde se plaint et gémit. Les salai- res augmentent peu en re- gard de la montée du coat de la vie, et il est de plus en plus difficile de ‘‘join- dre les deux bouts’’. -Pourtant, si nous regar- dons autour de nous, nous nous apercevons qu’il y a des gens qui sont encore plus malheureux que nous: Se lout deabords. la keine Elisabeth. La pauvre fem- me a bien des problémes. A la fin du mois de jan- vier, elle s’apergut qu’elle avait besoin de quelques employés supplémentaires pour maintenir d’une ma- niére impeccable sa petite résidence de six-cents pi¢- ces, le palais de Buck- ingham. Le palais publia donc une petite annonce dans. le journal Evening News pour demander de l’aide. Mais les ennuis de la Reine ne devaient pas s’ arréter 1a. L’inflation la frappa, elle aussi, A-tel point que le gouvernement décida de lui donner un coup de main en lui ac- cordant une augmentation de salaire de 630,000 dol- --lars.- : : Parmi les huées des ele- NOUS ments gauchistes de son propre parti travailliste, le Premier Ministre Ha- rold Wilson expliqua que l’augmentation était mné- cessaire pour maintenir les standards de la Maison royale. Mais cette augmentation, a-t-il ajouté, n’a pas éte suffisante pour couvrir les dépenses supplémentaires qui ont dépassé les Des millions de dollars par an qui sont actuellement payés pour les dépenses royales. Pour payer la différence, a précisé Wilson, la Reine a dQ puiser dans sa propre poche pour donner 350,000 dollars. La pauvre! Voila une nou- velle qui nous a fendu le coeur. Enfin, un dernier exemple d’infortune; un sénateur canadien et son epouse, en vacances en Floride, ont été Jes victimes d’un rat d’hotel. L’individu leur a volé non seulement leurs cheques de voyage et leur argent liquide, mais a em- porté également les -bi- joux de la pauvre femme, bijoux d’une valeur de os. 22,000 dollars! Voila qui suffit certaine- ment A prouver qu’jl y a toujours plus’ malheureux que soi. Setiniacnsanetaseristencaanlaartiies oe See aS Sacha ihn Diba sates