LE MINI-QUOTIDIEN DE LANGUE FRANCAISE DE LA COLOMBIE-BRITANNIQUE : VOL.11 NO.3 Vendredi 12 Mai 1978 .25 CENTS «puissent vos efforts étre imités» PRM eam Na Sor ER PREM TPER MINISTRE Je félicite chaleureusement les ‘fondateurs et les artisans du Soleil de Colombie pour les motifs d'espoir qu'ils fournissent 4 tous ceux qui s'intéressent a la cause du fait frangais au Canada. Les dix années de vie d'un. journal comme "Le Soleil de Colombie" interdisent de désespérer.. nous Si. les. franco= - phones: de la Colombie-Britannique ont Si, Gaise, francophones plus nombreuses ne seraient- elles . we capables si elles s'y mettaient avec 1' aide @clairée des gouvernements. a force de courage.et.de.fidélité,.. er chez-eux cet oasis de vie fran-| ~~ de quo! certaines communautés Je souhaite longue vie 4 votre _ journal et puissent vos efforts étre imités. OM Ea: wa. a eae. 8 — nay » Cc De Cook a La Pérouse Le voyageur du Vieux Continent qui vient a la céte ouest du Canada, doit prépa- _ rer son séjour. C’est malheu- _ reusement ce qu’il m’a été impossible de faire en raison du délai trés court qui a précédé mon voyage. Il est certain que malgré les efforts de I’Association des Ecrivains de langue et od expression Francaise (AD- _ BLF) dont je suis l’un des _ Migrations - Quelque 142,156 im- - migrants sont entrés au _ Canada du ler juin 1976 au _ 31 mai 1977 et 38,900 per- - sonnes ont quitté le Canada pour des pays étrangers au cours de la méme période. Pendant ce temps, 399,849 personnes ont déménagé - © d'une province 4 J’autre. membres du comité direc- teur, ainsi que l’annonce de ma visite faite par l’Acadé- mie de Marine et par ]’Aca- démie des Sciences d’Outre- Mer, il efit fallu rester au moins une semaine de plus a Vancouver pour rendre pos- sible, dans le cadre des. activités des différentes as- sociations francophones, l’or- ganisation d’une conférence et de contacts personnels. Dans ces échanges inter- provinciaux, |’Alberta a en- registré un gain net de 27,500 personnes, la Saskat- _ chewan 6,000. Par contre, la perte nette pour !’Ontario fut de 5,700 et pour le Québec de ai 300. (Statistique Canada): ene. J’exprime a ceux qui a- vaient eu la gentillesse de me convier a la soirée du Centre Culturel, le vif regret qu'un engagement officiel précédent, dans le cadre de la Cook Conférence a la Simon Fraser University, ne (Suite p.2) Geste , positif L’Association canadienne- francaise de l'Ontario prend » note du dépét, par le gouver- nement ontarien, de son projet de loi destiné a recon- naftre les droits du fran- cais devant les tribunaux. II faut se rappeler que cette initiative du gouvernement constitue un précédent im- portant pour les Franco- Ontariens. En effet, c'est la {Suite p:4)~ >> ~~ oie ye. oa Pvtntsy le tourisme est la troisiéme industrie de la Colombie-Britannique. Les attraits de notre province sont multiples: océan, riviéres, lacs, foréts, montagnes. Les sites comme Barkerville, la ville de la ruée vers lor, attirent également les touristes. [Photo du Gouvernement de la Colombie-Britannique]. . Une grande premiére “C’est bien la premiére fois qu'un tel rassemblement se fait sur le plan national.” C’est ce que devait déclarer M. Donatien Gaudet, prési- dent de la Fédération des Francophones Hors Québec, a lVouverture du Forum National des Francophones hors Québec qui s’est tenu les 5, 6 et 7 mai a |’Univer- sité d’Ottawa. Le venffei soir, une ré- ception off %e par I’Associa- tion Canadienne - Fran- caise de |’'Ontario, a permis Démission aux délégués des neufs pro- vinces de converser avec des francophones souvent bien connus, mais qu’ils n’avaient pas encore rencontrés. Le samedi-matin, tous les déléguées étaient réunis dans un amphithéatre de VUniversité pour la session d’ouverture. M. Donatien Gaudet souhaita la bienve-: nue a tous ces francophones venus de tous les coins du pays et a prononcé un dis- cours trés remarqué, basé d’Hubert Gauthier Directeur-Général de la Fédération des Francopho- nes Hors Québec depuis le ler juillet 1976, M. Hubert Gauthier vient de démission- ner pour poursuivre ses études en administration pu- blique; il va entreprendre un maitrise A’E.N.A.P. En remettant sa démis- sion, dimanche dernier a Ottawa, au comité exécutif de la F.F.H.Q., M. Gauthier a réitéré son appui total aux buts et aux objectifs de la Fédération et une fois ses » études terminées, dans un an et demi, il compte bien se remettre au service de la cause francophone. ~~ La Fédération des Franco- phones Hors Québec annon- cera .bientét un concours public pour remplir ce poste _ de directeur-général.. M. Hubert Gauthier a été le président fondateur de la F.F.H.Q. en novembre 1975; le ler juillet 1976 il fut choisi — comme directeur-général. Auparavant, il avait tra- vaillé au Manitoba comme animateur puis comme direc- teur-général de la Société Franco-Manitobaine. I] a été également employé par le bureau d’éducation francaise du gouvernement manito- bain. sur le texte que nous pu- blions cette semaine. pays et prononca un dis- cours trés remarqué, basé sur le texte que nous pu- blions cette semaine. Il présenta les objectifs du Forum et son déroulement. Les délégués ont dfi alors choisir l'un des cing ateliers (Suite p.2) le restaurant au bord de l’eau EE DEJEUNER lundi au vendredi Diner - tous les soirs Salles. manger privées Spécialités: Fruits de mer et grillades 1000 rue Taylor False Creek Marina ** Réservez votre table 687-0111 Fee Sie ae gi actin ctncona ins p é 4 bs é z ;