préférence, un qui soit particuligrement impressionnant (qui ne soit pas piqué des vers), allez dans les foréts humides au sud de la pro- vince du Cap, en Afrique du Sud. Vous y verrez le Podocarpus falca- tus qui fait jusqu'a soixante métres de haut et qui peut 6tre agé de plus de 1500 ans. Dans ce pays on appelle les Podocarpus, fort bien protégés d'ailleurs, "bois jaune". C'est le yellowwood ou geelhout en Africans. Enfin, les trois derniers groupes sont les plus importants pour nous. On les distingue par l'aspect de leurs "feuilles" (aiguilles ou écailles) et leur insertion sur la branche, de leur céne, ligneux et écailleux, ou ayant l'apparence d'une baie. A suivre. Jean-Jacques Lefebvre Jean-Jacques Lefebvre habite a Victoria, Colombie-Britannique depuis 1982. Il adore la botanique, la photographie, lire et écrire. Il rapporte de ses nom- breux voyages des photographies qu'il expose sous le nom de KATANA. Vous pourrez sans doute le rencontrer au Salon du livre franco-colombien 2005 a Victoria. Il a publié plusieurs nouvelles dans VIRAGE. Un premier livre est attendu au salon du livre franco-colombien 2005. x kk KK RK OK Halloween - 31 octobre On a donc tort d'associer cette coutume a la seule culture anglo- saxonne puisque les gaulois étaient aussi des Celtes! Mais il est vrai de dire que ce sont les peuples anglo-saxons qui ont en grande par- tie véhiculé cette tradition jusqu'a nous, notamment celle des citrouil- les transformées en lanternes. En effet, les Jack-o-lantern rempla- caient les veilleurs de nuit qui, par leur fonction associée aux esprits et aux morts, étaient particuligrement utiles la nuit de I'Halloween, alors les esprits revenaient de leur monde souterrain... Chez les Celtes, cette féte était associée au ramassage de la der- niére gerbe. || fallait, A ce moment de l'année ou les esprits revien- nent de l'au-dela, neutraliser les forces négatives : on en faisait l'oc- casion de rituels, ol les participants portaient des costumes et des masques qui évoquaient les esprits afin de les confondre ou de se les rendre favorables. C'est a cette tradition que remonte |'Hallo- ween. Chantal Lefebvre