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Libre ™

UN CENTRE COMMUNAUTAIRE

Un jour, des francophones @ Nanatmo sont parvenus
@ fatre certaines acttvités ensemble. De 1a est né
notre Assoctatton. Depuis cette époque une multitude
de réves ont trottés dans toutes les tétes. Un de
ceux 1a, peut-étre le plus réaliste, a passé @ travers
des années et des gens. Aujourd'hut on commence @
poulotr le: réaiteer.” Ce reves~etéest. dé VoORLAIDF<s tinal
taller chez nous, c'est-d-dire d'étre proprtétatre d'un
local dans lequel nous pourrtons réaltser toutes nos
acttvittés.

Parallélement @ ce réve, depuis quelques temps,
tl y a comme une épée de Acad qut nous menace.
Ce qut nous préoccupe ainsi c'est de se votr couper
notre source prinectpale de financement. En effet, le
Seerétartat d'Etat, parce que cela fatt en ce moment
Liaffatre des poltittciens en place, nous verse des
sommes trés tntéressantes toutes les années pour nos
opérattons. Mais tl y a comme un vent de pantque,
comme une peur démentielle; celte qut veut que ce
Seerétartat dans un aventr plus ou motns rapproché
mous annonce que la franeophonie hors Québee ne ttent
plus une place prtoritatire. Done on pense @ nous cou-
per les vivres.

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TELE LT EC eT TRE a ET ES IT A TL ENTE 3