Vn: i pri ERTL Se ia igh ca : bas 2 _un examen gratuit chez le - de naissance. _ enfants de la maternelle, la . ter la carie, mais encore -faut-illes brosser de la bonne comment utiliser la soie . dentaire, et un traitement au _ sur l’importance d’une visite oo 170,000 enfants profitent du _ res-dans les écoles. Selon Mw Sr : VOL, 13 No 14 VENDREDI 25 JUILLET 1980 = Le nouveau programme de soins dentaires Pas pour tout le monde Huguette DECARIE—DESJARDINS Enfin, plus de maux de dents! Le gouvernement de M. Bennett annonce la mise sur pied d’un nouveau programme d’assurance couvrant dans certains cas 100% des honoraires lors de traitements dentaires. . A partir du ler janvier 1981, tous les enfants En 1949, le Ministére de la Santé de la C.B. avait insti- tué un programme préventif en soins dentaires. Ce programme comprend obturations, etc.. 50% de réduction. dentiste aussitét que l’enfant célébre son 3e anniversaire Dansles écoles, une équipe dhygiénistes et d’assistan- tes-dentaires visitent les l1e,3e,5e et 7e année. On les renseigne sur les soins d’hy- giéne dentaire a suivre. Les enfants apprennent qu'il ne s'agit pas seulementdese | maniére. On leur démontre fluore leurest aussi donné. - L’hygiéniste met. l’accent réguliére chez le dentiste. Aprés l’examen, une carte est remise al’enfant décri- vant la condition de ses dents. Les parents sont par la suite consultés pour savoir si les soins suggérés ont été recus. Tous les deux ans, plus de Programme de soins dentai- 4, Rafe Mair, ministre de la santé remet a Lana Stark, agée *. de3 ans de Burnaby, une tirelire qui représente les économies Mair, “80% des enfants pats. . viennent a contréler la carie ee ent du nouveau programme d’assurance dentaire a Les personnes de 65 ans et L'ass. de la Presse Francophone hors Québec _ Lenouvel exécutif ‘Les 18 journaux de l'ASSOCATION DE LA PRESSE FRANCOPHONE HORS QUEBEC cont élu leur nouvel exécutif lors de leur assemblée annuelle tenue a Ottawa les 25, 26 et 27 - juin. Ce sont, dans l’ordre habituel: le secrétaire, Cyrille Leblanc du Courrier, Yarmouth, _N.E; le premier vice-président, Michel Lagacé de la Liberté, Saint-Boniface, Man.; le président André Paquette du Carillon de Hawkesbury, Ont.; le trésorier, Michel Desrosiers de Aviron de Campbellton, N.B. et le deuxiéme vice-président, Wilfred Roussel du Voilier de Caraquet, N.B. _ ek de 14 ans et moins auront droit aux services dentaires gratuits. Ces services comprennent examens, rayons-X, traitement de fluore, dentaire. Nous espérons améliorer ce pourcentage - avec le programme d’assu- rance dentaire qui sera en fonction dés janvier 1981.” L’an dernier 70% des enfants éligibles participé- rent au programme. Le but de ce plan est de faire réaliser aux enfants qu'il est trés important de garder ses~ dents, et que si ces derniers suivent les métho- des d’hygiéne dentaire ensei- gnées, ils auront peut-étre la chance de gardes leuradignis-- Des camionnettes avec -équipement dentaire, ser- vent aussi aux dentistes et hygiénistes dans les régions éloignées. L’an dernier 11,000 personnes dans 31 communautés ont eu recours a leurs services. Suite p. 5 SECOND CLASS MAIL COURRIER DE 2e CLASSE No 0046 25 CENTS plus profitent de “Diamantose * sur 33 tours Claude TRONEL Diamantose sort son ler album. Le lancement du disque de Diamantose aura lieu le 31 juillet au Centre Culturel Colombien de Vancouver Suite p. 13 Les troubadours modernes: “Diamantose” Rencontre de peuples francophones André PIOLAT “Québec entend bien continuer a jouer son réle parmi les peuples francophones” — c’est ce qu’a déclaré M. Pierre de _ Bellefeuille, adjoint du ministre des Affaires Inte: juverne- mentales, dans son discours de bienvenue aux participants de la troisiéme rencontre des peuples francophones, dans la ville de Québec. “La décision du 20 mai n’a nullement modifié les données fondamentales, on pourra compter sur le Québec comme membre de la cordée dans l’affirmation culturelle a lintérieur de la francophonie.”, a-t-il précisé. Durant quatre jours, les représentants de la francophonie ont participé & une série de présentations et discussions sur l'état, le succés et les problémes de notre lien commun a travers le monde, la langue francaise. M. Jean Martucci, sous- ministre au développement culturel du Québec, dans une ‘présentation bien documen- tée, fit historique de la Loi ' 101, retracant-ses étapes. Commengant par le projet de Loi 85 en 1968, suite aux événements de Saint Léonard en 1968, projet qui fut retiré par le premier ministre Jean-Jacques Bertrand puis représenté avec de légers changements en octobre 1969 comme pro- jet de Loi 63; En 1974, la Loi 68 fut abrogée par la Loi 22 ~ du premier ministre Robert Bourassa, loi qui fut trés contestée, car si elle faisait du francais la langue officielle du Québec, elle prévoyait trop d’exceptions qui la ren- daient inéfficaces. A son arrivée au pouvoir, le gou- oe ete vernement de M. Lévesque publia un livre blanc, prélude au projet de la Loi Noi qui, aprés consultation, fut remplacée par la Loi 101, _ portant le nom de “Charte de la langue frangaise’’, con- sacrant sans équivoque, le francais langue officielle du Québec tout en maintenant les droits de la minorité -_ anglophone. Selon M. Martucci, cette loi | qui, 4 ses débuts, fut trés contestée par la minorité anglophone jusqu’a étre traduite en Cour Supréme du ‘Canada, est maintenant ac- ceptée par la majorité des anglophones. M. Louis Balthazar, de YUniversité Laval, dans sa présentation, déclara qu’avec la chute dramatique _ dutauxdenatalité,leQuébec Un lien commun: le frangais francais n’a plus d’autre choix que d'intégrer les im- migrants qui s'‘installent sur son territoire, malheureuse- ‘ment cette réalité n'est pas encore tout a fait acceptée par l'ensemble des franco- phones québécois qui ne semble pas comprendre que cette intégration est une question de vie ou de mort pour le Québec. M. Yann Clerc, directeur du journal “Le Figaro” de Paris, dans une conférence intitulée “Le réle de la presse écrite et le développement des com- munautés cultureltes” dé- montra le réle du journal . régional dans la vie de la communauté, de sa nécessité en milieu minoritaires pour assurer la survie de la lan- gue . ; M. Dankoulodo Dan Dicko, parla de la langue francaise, source de cultures nationales et de communications. M. Charles-Etienne Lagasse, de Bruxelles, Belgi- que, décrit les divergences, convergences et devenir des communautés frangaises de Belgique et du Québec, plu- sieurs autres conférenciers traitérent. de sujets connextes. ~ Suite page 3 seen thet, etn beast mit itn econcllntsens tren a lh ett nell Meet iden nttnstnemencitotn ni Sana = eer OT | PRR ae nee EO