te eis remedial Si ay Efre dur ne veuf pas dire étre barbare Le 19 mars dernier, 4 Boston, ii s‘est produit un iner- dent plutét désagréable--- et de mauvais goit--- alors que Wayne Cashman, des Bruins et Deniis Hextall, des North Stars de Minnesota se sont livrés un duel 4 coups de ba. tons. Et cela devant un auditoire de millions de spec- tateurs a la television américaine. Le tout a débuté quand Hextall semblait avoir le che- min libre vers le filet du Boston: c’est alors qu’é deux reprises Cashman se servant de son baton telle une hache frappa 4 deux repirses Hextall aux chevilles. Ce dernier profita donc pour se retourner trés vivement... et assé- ner un coup de baton (avec la pointe de la lame) au visage de Cashman qui s‘effondra. sur la glace. Surgit tout d’un coup Phil Esposito et autres joueurs des Bruins qui s‘attaquérent 4 Hextall. Pendant se temps Cashman reprenait son équilibre et de dirigeant en vitesse dans la mélée sauta haut dans les airs en bran- dissant son baton de facon trés menacante. Tenant tou- jours son baton 4 deux mains il laissa partir un de ces coups de masse qui aurait atteint Hextall a la téte sice dernier n’avait pas fait un geste rapide afin d’esquiver le coup. Mais le baton atteignit Hextall a I’épaule... et ce dernier fut passablement ébranlé. Nul doute que si Cashman avait atteint Hextall a la téte, on aurait été témoin d’une autre affaire “a la Ted Green’! Ce qui devait surprendre tout le monde fut la décision de l'arbitre Bill Friday qui décerna deux punitions mi neures a Cashman et une punition de cing minutes a Hextall pour avoir dardé! Méme les plus fanatiques supporteurs du Boston n‘y comprenaient rien. Heureusement que Clarence Campbell, le président de fa Ligue Nationale de Hockey, prit les choses en mains le lendemain. Dvailleurs Wayne Lashman et Uennis Hextall ont comparu devant le president mardi en com- pagnie de larbitre Bill Friday et de ses juges de lignes. Au moment d’écrire ses lignes Campbell n‘avait pas encore rendu un jugement final sur laffaire... mais ¢a ne devait pas tardé. Quand vous lirez ces lignes le tout sera déjé de I’histoire. Espérons que Campbell aura svi en conséquence! Je veux trés bien vous avouer que le hockey pratiqué de nos jours dans la Ligue Nationale de Hockey ne m’en- halle pas outre-meusre. C‘est méme mon opinion aue la majorité du temps les habitués aux joutes de la N’H’L’ se font grossiérement exploités. Pour un billet de $b.uu ils ne devraient payer que $2.00 tellement le spectacle est généralement monotone. /I y a bien quelques bonnes parties ici et la mais, comme dirait l'autre, c’est l’excep- tion plutét que la régle! Pour stir que I’on n‘assiste plus au jeu virile et costaud qui était la marque de commerce de Ia Ligue Nationale il y a vingt ans. L’expansion et les saisons de plus én plus longues y sont pour beaucoup dans cela. Apres tout tes Joueurs ne sont pas des robots et il leur arrive de man- quer de souffle. Sans oublier que la moitié des joueurs de la L.N.H. ne sont pas de calibre de “la Nationale” Mais c’est ca le progrés semble-t-il! Mais autant que je suis en faveur d’un jeu costaud au hoc- key, un jeu rude mais honnéte, je ne suis pas du tout en faveur de ces batailles 4 coup de batons. Etre un dar, c’est une chose, 6tre barbare, c’est une au- tre chose! Qui, le hockey peut facilement se passer des idiots qui se servent de leur baton ou patins comme armes de guerre! SOLUTION: WED _ ce Ou. j TEL-AViv ye lONEY C'EST PAS POSSIBLE!... conn : Il a été voir le médecin et il lui a ordonné UDSHOD Der ndé a vot’ dame si je dois revenir demain. nla tai SS ln @ Am | GREVES| QUEBEC 1978 Voyons, voyons,mes bons amis ensez y donc eae gBbs ‘Quelle eau buvons-nous, par Charlotte RIX possibilités pour “épuer” « AFP — Nous avons besoin de buire Wils veulent bo.re wu ur vivre . En absorbant une Certaine quan. _‘tileste tite. d'eas » nn Wentean he . Placons Quoti’ MOI,JENE VEUX PAS RUINER _ MA SANTE AVEC L’EAU LE SOLEIL, 7 AVRIL 1972, XV iS D’accord... je m’en vais... Mais je n’ai pas de a e facile pie yas i Ee Cae ee ee Ra ee Oe ee celia Sey Sis kip i pall cas ee Re