de Vancouver ¢sur la bande, SS Victoria: 3et 8 Chilliwack: 14 Kelowna: 2 BON ASS Kamloops: 50 rawall Rw, MSS Programme de la télévision francaise de _VOL.4 No30 VENDREDI 2 MAI 1980 Radio-Canada L'Observateur De la cuisine a la sculpture La Cuisine québécoise Bien des gens identifient encore la cuisine québécoise aux féves au lard, a la tourtiére et au ragodt de pattes de cochon. Dans ce repor- tage que nous présentera France Nadeau, nous découvrirons a I'Insti- tut de I’hdétellerie, par exemple, que la cuisine québécoise est plus raffi- née qu’on le pense. On nous parlera aussi de nouveaux restaurants et on apprendra avec la spécialiste dans le domaine, Frangoise Keyler, si on peut désormais parler de gastrono- mie québécoise. Tit-Coq joué par de jeunes émi- grés A l'école secondaire Roberval, or fait du théatre depuis plusieurs an- nées mais c’est la premiére fois cette année que des éléves venant de 10 pays différents interpréteront une piece québécoise. Le profes- seur Solomon Lévy a fait la mise en scéne de Tit-Cog de Gratien Gélinas et le public est invité a assister aux sept représentations qui se déroule- 118 > Meédecines 4: phytothérapie Au cours de cette émission, plu- sieurs spécialistes nous renseigne- ront sur le traitement par les plantes qu’est la phytothérapie. Le docteur Jean Valnet nous dira ce qu'il veut dire lorsqu’il parle d'une médecine de |‘homme total. || nous donnera quelques exemples pour illustrer de quelle facon !e psychisme peut inter- venir dans le développement d'une maladie. En reprenant les enseigne- ments du passé, il préconise une nouvelle approche de la médecine. Nous ferons ensuite la connais- sance de Yvette Feintrenie, herbo- riste. Elle nous parlera de sa spécia- lité et de l’usage que |’on peut faire _ des herbes dans un but thérapeuti- ae =4 a ront a |'école 4 compter du 21 avril prochain. Des collectionneurs de cartes Certains auront sans doute oublié ces cartes que l'on trouvait gratuite- ment a |'intérieur de |‘emballage de certains chewing-gum. Ces cartes,, présentant toutes sortes d’illustra- tions, se vendent encore et il semble qu'un magasin de la métropole soit méme spécialisé dans |’échange de ces cartes. Madeleine Rousseau ren: contrera l'un de ces collectionneurs qui en posséde 8000 exempiaires. Montréal by night Au cours de cette derniére émis- sion de la saison, nous verrons un reportage sur les habitués de la rue Crescent et ceux de la rue Saint- Denis. Yves Taschereau s'est rendu aux deux endroits pour tenter de voir quelles en sont les différences. Ces rues, remplies de restaurants, de dis- cothéques, de boutiques, de terras- ses et de bars de toutes sortes,’ attirent-elles les mémes gens? Ona voulu savoir si ces gens s’habillent de la méme facon, s'ils ont le méme comportement et s‘ils choisissent les mémes activités. Fréquentées surtout par des jeunes, ces rues s‘adressent-elles a des groupes dif- férents ou semblables? La Danse sociale Dans ce reportage, nous assiste- rons au concours international de danse sociale qui se déroulera dans la métropole et qui est organise par le service des Loisirs de la ville. Nous verrons qui donne ces cours et quel public ils rejoignent. Un symposium de sculpture A l'occasion du Symposium inter- national de la sculpture environne- mentale qui se déroulera a Chicou- timi entre le 18 juin et le 1er aout, un projet de Canada au travail a été mis sur pied. Une subvention de 2 800 dollars a été accordée a six person- nes pour créer a travers la ville une signalisation originale annongant le symposium. Pour aller visiter l’expo- sition qui réunit des artistes venant d‘'Europre, des USA et du Québec, les visiteurs n‘auront qu’a suivre le chemin que leur indiqueront les énor- mes personnages sculptés que |’on retrouvera a divers endroits de la ville Les Beaux Prince George: 4 Terrace: 11° Dimanches: Sensé ou insensé Aprés la seconde grande guerre, le microsillon, le poste transistor et la télévision vont déclencher une vé- ritable explosion ou s‘entremélent musiques folkloriques, ‘‘rock"’’ et électroniques. La technologie cham- barde littéralement la pratique et le marché de la musique. «L‘enregis- trement a remplace la salle de concert», affirme le Canadien Glenn Gould Quant a la nouvelle musique popu- laire, Son sentimentalisme s'oppose nettement au chaos culturel mon- _Guérir par les plantes que. Il sera également question des médicaments traditionnels par rap- port aux plantes médicinales. Cela nous permettra de mieux situer le role de ces plantes et la nécessitée de les utiliser surtout de fagon complé- mentaire ou préventive. Car il ne s'agit pas, comme le souligne le pro- fesseur René Paris, d’ opposer !a-lai- tue a la vitamine C'de laboratoire Une autre spécialiste invitée, Made- leine .Marlier-Deniau, situe bien le probléme lorsqu’elle affirme: «Je pense que pour faire de |’herboriste- rie dans |'optique actuelle, on ne peut obligatoirement la penser qu’avec un contexte médical». En terminant, le docteur Augustin Roy souligne le fait qu’au Quebec, on n’‘a pas de vrais phytothérapeu- tes comme on en trouve en France. tant. La jeunesse, a son tour s‘oriente vers le passé et les musi ques d’ailleurs. Méme contestees les formes traditionnelles sont main tenues et, dans la ligne de cette In- transigeance, de cette fidélite a ‘homme eta ses origines: Bela Bar tok, dont la musique va clore cette série Aux Beaux dimanches cette semaine, vous étes donc invites a voir le dernier volet de la série l'Homme et la musique, une réali- sation de John Thomson et Richard Bocking du réseau anglais de Radio- Canada \| dénonce aussi les prix abusifs des herbages vendus ici. «ll n’y rien de mauvais dans l'utilisation d’herba- ges, mais il ne faut pas penser que c'est une solution miraculeuse, une solution Magique qu! guerit toutes les maladies» En fait, tous ceux qui s'interes sent a la santé et aux fagons d’envi sager la maladie seront Captives par cette émission riche en informations utiles H. F.