—NformaATION Secrets et Surprises Richmond se raconte Marielle Demorest, comme d’autres citoyens de Richmond, est une personne qui aime s’impliquer dans sacommunauteé et faire avancer les choses. Grace a sa participation active dans plusieurs projets, Richmond a obtenu réponses a certaines de ses préoccupations et vu croitre le bien-étre de sa communauté. : Aujourd’hui, Marielle Demorest et quelques autres personnalités de Richmond dont Charlotte Diamond et Fernando Vachon, racontent ce qu’était leur ville et ce qu’elle est devenue. Richmond: Secrets, Surprises estle dernier d’une série de quatre livres racontant l’histoire d’autres municipalités soit Summerland, l’Okanagan et Penticton. Grace a Jackie Lee-Son de Yorklin & Associates, c’est maintenant au tour de Richmond d’inscrire son histoire sur les pages d’un livre. Auprés du Centre des archives de Richmond, Jackie Lee- Son obtient les noms de personnalités bien établies dans la ville étant susceptibles de vouloir partager leur vie de citoyens impliqués avec le reste de la communauté; Marielle Demorest en fait partie. En quelques paragraphes, elle relate donc les principaux événements qui ont marqué sa vie depuis son arrivée a Richmond en 1958. Au fil des ans, elleainvesti un temps considérable sur la scéne politique puis aux niveaux scolaire, sportif et environnemental tout en devenant un exemple pour sa famille. Mais Marielle Demorest sera sourtout remarquée pour sa participation dans la création d’un Centre de ressources pour les femmes de Richmond. Plusieurs lignes de son exposé sont d’ailleurs réservées a histoire de la fondation de ce centre. Le livre, comprenant plus de 300 pages, est rempli de plusieurs autres expériences et anecdotes, ponctuées d’illustrations par l’artiste Raymond Chow. Le tout estestrelié d’ une couverture congue par M. Raymond Boyer, lui aussi citoyen de la ville de Richmond. Ce petit coin de la Colombie- Britannique renferme donc de multiples talents, mais pour Marielle Demorest, il s’agit de beaucoup plus. «C’est une communauté ot les gens sont impliqués; il y a beaucoup de bénévoles qui oeuvrent dans le domaine du sport, du théatre, etc,.» Loin d’étre une communauté vieillissante, Richmond semble au contraire étre uneville en pleine expansion. «Avec les nouvelles populations ethniques qui arrivent, il y a maintenant beaucoup plus de jeunes a Richmond», mentionne Marielle Demorest. Il y a environ trois ans, Richmond acquis le statut de ville. L’ouvrage auquel ont, entre autres, participé Marielle Demorest, Charlotte Diamond et Fernando Vachon est non seulement la réminiscence de son passé, mais un outil qui pourrait bien aider a batir son futur. «C’est un héritage et un modéle pour les autres personne qui désirent s’impliquem, conclut Marielle Demorest. Genevieve Gouin Montréal, le9 janvier 1927. Les enfants surexcités s’entassent en ce dimanche de janvier dans la salle du Laurier Palace pour assister a la derniére nouveauté cinémato- graphique. Trois quarts d'‘heure aprés le début de la projection, un filet de fumée sort du plancher du balcon. Une cigarette mal éteinte a probablement été jetée a cet endroit par mégarde. Un employé de la salleaccourt avec un extincteur mais les flammes augmentent et la panique s’empare des enfants. Une cohue monstre s’ensuit. Le parterre se vide empéchant les jeunes spectateurs du balcon d’évacuer la place. Triste résultat: 78 enfants Agésde six a 18 ans trouvent la mort au cours de cette tragédie qui s’est déroulée dans le quartier Hochelaga- Maison-neuve, 4 Montréal. Chronique du Patrimoine La tragédie du Laurier Palace Cette tragédie a été l’occa- sion de relancer une campagne visant a interdire le cinéma le dimanche et d’une fagon plus générale, d’imposer le «respect du jour du Seigneum. Le coup d’envoi de la campagne est donné lors de Vhomélie prononcée aux obséques des jeunes victimes. «Le respect du dimanche doit étre une legon a dégager de cette hécatombe», déclare Monseigneur Georges Gauthier, qui profite de l’occasion pour réclamer une enquéte publique sur la tragédie. La propagande de moralité publique est poursuivie parla Société Saint-Jean-Baptiste et Le Devoir qui bl4ment sévérement le gouvernement Taschereau. On profite de l’occasion pour réclamer une législation plus sévére sur la consommation d’alcool, contre le mauvais théatre, contre le divorce, l’automobile, et tutti quanti. Le juge Louis Boyer qui préside la commission conclut que la panique est la seule cause de la tragédie. [ajoute parailleurs que le cinéma est entré dans les moeurs et qu’il est devenu une «nécessité relative». Il refuse ainsi d’endosser l’opinion du clergé au sujet de la présentation de films le dimanche. Malgré une campagne vigoureuse, ceux qui se prenaient pour la «police des moeurs» n’ont jamais réussi a faire interdire l’ouverture des salles de cinéma le dimanche. Ils ont par contre réussi a empécher les enfants d’assister aux projections pendant quelques années. Le SoLelL, VENDRED! 19 aoUT 1994 - 3 Richard Thériault dit étre né sous une bonne étoile. Et qui pourrait dire le contraire? Jusqu’a maintenant, cet homme polyvalent s’est toujours trouvé au bon endroit au bon moment, ce qui luia permis d’acquérir une expérience enviable et de rencontrer une multitude de gens. Richard est né a Québec, ot il a également fait ses études collégiales. Durant cette période, il s'implique considérablement au niveau parascolaire. A lage de 19 ans, il passe une audition avec le Théatre du Richard Bois de Coulonges 4 Québec. Le tout se Fae passe a merveille et Richard obtient un réle Theriault dans une pidce de Harvey Fierstein intitulée Trois chansons d’amour (Torch Song Trilogy ), aux cétés de Janine Sutto, Rémy Girard, et autres comédiens de renom. Cette premiére expérience professionnelle au thé4tre le méne aux portes du Conservatoire de Québec qui s’ouvrent devant lui sans grandes difficultés. Aprés un an, il préfére toutefois s’orienter vers de nouveaux horizons. Pendant quatre ans, il animera une émission de radio a la station CKRL tout en oeuvrant toujours dans le domaine théatral. C’est en 1992 qu’il atterit enfin 4 Vancouver ot il rencontre Denis Bouvier, un ancien de la station CKRL, qui travaille a la radio de Radio-Canada. Plus tard, on entend la voix de Richard a l’émission Autrement dit lors de laquelle il présente des chroniques jeunesse. Bientét, on l’entendra couvrir la circulation dans le cadre des Jeux du Commonwealth pour I’émission du matin a la radio de Radio-Canada. Cela fait maintenant deux ans que Richard habite Vancouver, et selon lui, le meilleur et a venir. «Ici, on fait partie intégrante de la ville. Onsait qu’on participe 4 quelque chose qui est en devenir et qu’on n’est pas que des spectateurs.» G. sat eaaioe CKIC Avis d'audience publique CRTC 1994-12. Le CRTC tiendra une audience publique a partir du 3 octobre 1994, 9h00, a !'Hotel Plaza \l, 90 est, rue Bloor, Toronto (Ont.), afin d'étudier ce qui suit: 1. A TRAVERS LE CANADA. Demandes (940475700, 940098700, 940092000, 940975600) présentées par CANADIAN SATELLITE COMMUNICATIONS INC. (CANCOM), en vue de renouveler et de modifier la licence de l'entreprise de télévision a canaux multiples et de distribution de radiodiffusion, visant a distribuer, par satellite, a des entreprises de radiodiffusion affiliées, les signaux autorisés. La licence actuelle expire le 31 aot 1995. EXAMEN DELADEMANDE: 50 o., ch. Burnhamthorpe, 10° étage, Mississauga (Ont.). BE- SOINS INDIVIDUELS SPECIFIQUES: Les intervenants qui de- mande de présenter oralement leurs commentaires de méme que ceux qui requiérent des services d'interprétation gestuelle doivent aviser le CRTC au plus tard 20 jours avant le début de l'audience. Le texte complet de cette demande est disponible en communiquant avec la salle d'examen du CRTC, Edifice central, Les Terrasses de la Chaudiére, 1 promenade du Portage, Piéce 201, Hull (Qc) J8X 4B1, (819) 997-2429; et au bureau régional du CRTC a Vancouver: 800, rue Burrard, Piéce 1380, C.P. 1300, Vancouver (C.B.) V6Z 2G7 (604) 666-2111. Les interventions écrites doivent parvenir au Secré- taire général, CRTC, Ottawa (Ont.) KiA ON2 et preuve qu'une copie conforme a été envoyée a la requérante le ou avant le 13 septem- bre 1994. Pour de plus amples renseignements sur le processus d'intervention, vous pouvez communiquer avec les Affaires publi- ques du CRTC a Hull au (819) 997-0313, Fax (819) 994-0218, ATS (819) 994-0423. [we Canada Audience publique Canadian Radio-television and Telecommunications Commission Conseil de la radiodiffusion et des telécommunications canadiennes Du 18 au 26 aoiit les Jeux du Commonwealth ca se passe au Ce Soir en Colombie-Britannique. Prenes Pierre Claveau rendez-vous Joyce Ffanvier avec Fa c D ufre sme Ce Soir du lundi au vendredi 18h30 Reprise 22h50 Victoria 94. XVe&Jeux du Commonwealth .. 4@s Television SRC (do) Colombie-Britannique