Mars 1966

Carnet social

VA ET VIENT

M. Roger MONTPETIT, directeur
général de APPEL, et son fils Ste-
phen ont passé une dizaine de jours a
Montréal, fin de janvier et début de
février. M. Paul MARION de St-Bo-
niface et sa fille Dolorés ont élu do-
micile 4 Vancouver depuis le début
de février, M. Nicolas BERANGER
de Marseilles, France, retraité de
Yarmée francaise et explorateur-con-
férencier, était de pasage a Vancou-
ver A la fin de janvier. Mlle Marie-
Thérése RIOUAL, de Bretagne, Fran-
ce, niéce de M. Yves RIOUAL, de
Nord-Vancouver, est revenue parmi
nous pour un stage a l'Université de
la Colombie (U.B.C.)

Mme Alice DESROCHERS de St-
Albert, Alberta, et autrefois de St-
Sacrement, est en visite chez Mme
Maurice ECARNOT, depuis la mi-
janvier.

Mme Claire DUMONT est de re-
tour d’une visite de 3 semaines chez
sa soeur résident 4 Costa Mesa, Ca-
lifornie.

LES AUXILIAIRES DU
ROYAL COLUMBIAN HOSPITAL

La premiére foire annuelle (Coun-
ty Fair) tenue en 1944 durant les
années de guerre quand les métho-
des de campagne étaient difficiles
dorganisation. Ces foires ont été
poursuivies réguliérement depuis. Du-
rant 23 ans, $168,000. ont passé dans
les fonds. Les oeuvres principales ont

PARARARRRRRnnnn nr nnn mmr meomwmonrmreomrerenw OEODNDLO—memwnnnwmw—""™"””™"

L’APPEL

servi 4 procurer un appareil 4 Rayon
X, de $25,000. et une contribution de
$18,000., 4 ’aménagement de la salle
des infirmiéres dans l’école de ces
derniéres, ceci en plus de plusieurs
améliorations, telles que comparti-
ments d’attente, air climatisé dans
Vaile d’obstétrique, 16 téléviseurs et
leur entretien, outillage pour les
chambres de chirurgie et pour plu-
sieurs autres départements de ’hdépi-
tal. Durant les 2 derniéres années,
les Auxiliaires ont placé dans l’ébau-
che d’un fonds destiné a un centre
pour les enfants, dans le projet d’un
nouvel hépital. L’argent percu a ces
foires aide aussi au camp d’été des
étudiantes infirmiéres, voit 4 des ca-
deaux aux patients a Noél et assiste
financiérement les patients dans le
besoin. Cinquante-cing Auxiliaires
sont actives dans les 5 occupations
suivantes: bibliothéque, charriots a
cadeaux, comptoir a bébés, Vaile de
Yest, visites et photographies de
bébés.

Ceux qui ont des objets usagés
dont ils peuvent disposer tels que bi-
jouteries, vétements, etc . . . Les Au-
xiliaires les mettront en bon état pour
leur vente, (Rummage Sale). Com-
muniquez avec Mme Chantal Lemay,
Tél: 939-9586.

VA ET VIENT A
PORT ALBERNI ET ALBERNI
EN VISITE CHEZ:
De nombreux parents, M. et Mme
D. Tremblay et leur petite fille.

page 15

Leurs parents, M. et Mme G. Bis-
son et M. W. Sévigny.

Leurs fils, M. H. Tardif, M. et
Mme Tardif de Debden, Sask.

Ses parents, Mlle Ginette Paquette.

M. et Mme Conrad Schiller, M.
et Mme J.-P. Schiller et leur fille
Solange.

De nombreux parents, M. et Mme
Ch. E. Painchaud et leur fils d’Al-
bertville.

M. et Mme Pat Blais et M. et
Mme P.H. Paquette, M. et Mme O.
Blais de Vancouver.

Des parents et amis, M. et Mme
R. Paquette de Sydney.

Des parents et amis, M. et Mme V.
Kropninski.

M. et Mme C. Schiller, M. et
Mme Maurice Schiller.

M. et Mme Pouliot, M. et Mme
C. Gaudet de Victoria.

Des amis de Victoria, M. et Mme
L, Allard.

De nombreux parents, de Victoria,
M. et Mme P.H. Paquette.

M. et Mme P. Vermette, le frére
de M. Vermette d’Edmonton,

Leurs parents de Debden, Sask., M.
et Mme M. Beaulac.

M. et Mme M. Beaulac, M. et
Mme M. Duret.

M. et Mme L. Tremblay est reve-
nue parmi nous aprés un séjour a
Victoria.

De passage, M. et Mme Jos Hou-
le ainsi que M. et Mme Denis Houle.

M. Julien Picton est venu demeu-
rer chez sa mére Mme J. Picton.

NOS CONVICTIONS...
(Suite de la page 5)

done l’alternative de mourir lentement en nous
regardant le nombril ou de remettre en ques-
tion tout ce que nous avons maintenant.

Que serons-nous?

Le dernier choix, le seul possible pour un
peuple qui a une histoire, va nous obliger a
nous fixer des objectifs. Se scandaliser du na-
tionalisme et du patriotisme, ¢’est faire comme
Vathée qui avoue ne pas savoir dou il vient
et ou il va mais qui sait qu'il n’y a pas de
Dieu. En somme e’est avoir honte d’avoir la
foi. IL faut une mystique pour qu’une vie per-
sonnelle prenne un sens, il faut aussi une mys-
tique pour qu’une vie collective ne nous méne
pas au suicide collectif.

Nous sommes ou ne sommes pas! Si nous
sommes, nous avons une contribution a faire,
X la mesure du défi présent. Le défi actuel,
lancé A tout Canadien, franeais ou autre, ¢’est
de définir lV’identité de son pays. Ceci ne se
fera pas en vase clos. Nous avons toujours
assimilé langue et foi dans notre tradition
et nous avons tenté de protéger l’une et Vau-
tre par Visolement. Aujourd’hui, il est reconnu
que le réle de la foi n’est pas de se cacher mais

de rayonner. Ceci s’applique aussi 4 la langue.
Hésiter, dans l'un ou l’autre cas, serait avouer
que foi et langue, pour nous, ne comportaient
que commodité superficielle. ;

Dans Védition d’avril, nous parlerons de cas
concrets,

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