Don F. Dorval est né a Ottawa. II a fait ses études primaires a l’école Samuel Genest et secondaires a L’ Académie de LaSalle. Une fois ses études terminées, il a travaillé aux statistiques et aux comptes payables et recevables. Il a cependant fait carriére dans la gestion des salaires de personnel. Ses employeurs furent lUnion du Canada, lH6pital Général d’Ottawa, le Conseil Scolaire Catholique de Carleton et le Centre de Recherche pour le développement Internationnal. Il a trois enfants: deux fils qui demeurent en Californie et en Ontario respectivement et une fille qui demeure en Colombie-Britannique (Kelowna). Il a un petit-fils. En 1992, face a des coupures budgétaires et une restructuration, Don décide de prendre un retraite prématurée. Cette décision coincidait avec une terrible épreuve dans sa vie personnelle. A ce tournant de sa vie, il décida de s’éloigner. Pendant trois mois, avec un sac a randonné sur le dos et une passe Euro-Rail, il a visité l'Europe: la Belgique, la France, la Hollande, la Suisse, I’Italie, l’7Espagne, la Gréce et l’Angleterre. Partout, il a rencontré des personnes extraordinaires qui |’ont aidé dans son cheminement. En retour, il a su conseiller, encourager et a l’occasion dépanner. Une ame en peine est plus compréhensive et indulgente. La processus de la guérison débutait. Toutefois, c’est a Malagua en Espagne qu’il a fait le point. Lors d’un excursion en montagne sauvage, avec d’autres touristes, il a marché dans des sentiers non battus. Il a du faire du trapéze sur deux planches de bois étroites au- dessus d’un ravin. Il a traversé un pont suspendu de 40 pi. de long, sans garde-fou. Quel test d’envergure... Sa seule “planche de salut” raconte-t-il, fut de fixer son regard sur la personne devant lui afin de ne pas faillir ou chuter. Une fois de l’autre cété, il revit mentalement cette épisode effrayante. Il fait le bilan... S’ensuit une certaine fierté. La réverie, hélas, est de courte durée. On leur apprend que c’est la fin de la piste. Ils doivent faire marche arriére, s’ils veulent rentrer a l’h6tel. Que faire? Pas de choix... Les minutes suivantes furent éternelles. C’est a ce moment qu’il a réalisé que, dans la vie les difficultés ne doivent pas paralyser. La détermination est la clé du succés. Quelques soient les expériences, négatives ou positives, elles doivent servir de tremplin. Le chemin du retour n’a pas été trés facile. Et la vie a continue... De retour au Canada, il s’est finalement tracé une seconde carriére en s’établissant 4 Kelowna. Il travaille pour Lakeview Memorial Gardens ou il occupe le poste de Directeur de services aux familles. Les défis relevés durant sa vie lui ont appris la compassion, la patience, l’entregent, lécoute. Il avoue que c’est difficile de discuter d’arrangements funéraires alors que nous sommes en bonne santé. II en résulte une certaine sérénité. Le deuil est une expérience traumatisante. Il s’agit d’éviter aux survivants les décision de derniéres minutes, parfois trés couteuses. Don se fera un plaisir de répondre a vos questions. II peut vous expliquer les différents plans disponibles. Il nous encourage a entamer, dés maintenant, le processus d’arrangements funéraires afin d’éviter des surprises plus tard. Donnez-lui un coup de téléphone au 765-2929.