La police représente la partie
la plus visible du systéme de
justice pénale, et fait par
conséquent l'objet de comptes
rendus négatifs dans la com-
munauté.

Mais le fait qu’elle se trouve
le plus en vue n’est pas une
raison pour qu'elle devienne le
bouc émissaire des problémes
plus profonds de notre société.

Jusqu’a ces derniéres années,
la police était clairement vue
comme l'organe d’exécution
de la loi. Dans certains sec-
teurs, la prévention policiére
est encore percue comme une
fonction assez agréable 4 rem-
plir une fois que le travail de
police est fait. D’aprés moi, les
services de police les plus
efficaces dans l'avenir prévisi-
ble, seront ceux qui acceptent
et qui adoptent le concept de

La police et la communauté >

la prévention policiére.

Ceci implique d’intervenir
avant qu'un acte criminel ne
soit commis, travailler avec les
autres personnes et organismes
de la collectivité 4 renforcer les
cibles et a concevoir l’agence-
ment du milieu pour découra-
ger les éventuels criminels. II
est aussi nécessaire de susciter
des changements d’attitude et
des modifications de compor-
tement qui auront une inf-
luence positive sur la motiva-
tion des individus portés a
commettre des actes criminels.

Communiquer
avec le public

Les services de police recon-
naissent de plus en_ plus
l'importance qu'il y a 4 com-
muniquer. avec le public

Chronique GRC

expositions dans les endroits’
publics, partage des informa-
tions, communiqués aux mé-
dias..... La police doit tenir les
gens au courant, si elle veut
obtenir la coopération et la
sympathie de la collectivité.

Le centre de prévention de la
G.R.C. regroupe des équipes
de policiers qui établissent des
contacts bénéfiques a tous les
niveaux de la société. Ces
derniers informent la popula-
tion des techniques mises a
leur disposition pour lutter
contre le crime. -Elles mettent
en marche des programmes de
“surveillance du voisinage”,
“d’opération indentification”,
et constituent une source inta-
rissable de conseils et de
connaissances pratiques.

Le réle de l’agent de police
consiste a aider la collectivité a

Ne crains rien mon ami, nous ne sommes jamais seuls

L’homme cet inconnu (Les extraterrestres)

Par Gilles St-Eloy

Pour des raisons complexes
et nombreuses, les “organisa-
tions dominantes” de la majo-
rité des civilisations, et plus
particuliérement la nétre, s’é-
vertuent a maintenir les foules
humaines dans l’ignorance de
la “vérité”. Cela afin de les
manipuler plus facilement a
leur gré et ainsi réaliser leurs
fins avec moins d’opposition.

En réalité, nous vivons dans
une des périodes sombres de la
civilisation ot, malgré les
apparences, l'ignorance est
cultivée avec le plus grand soin

par les groupes et les organisa-

tions qui nous dirigent.

Tl y a quelques siécles, a
l’époque historique cataloguée
sous le nom de “Moyen-Age”,
une classe dirigeante toute
puissante utilisait le moyen de
la “religion” pour maintenir
les gens au loin de la vérité,
afin de les exploiter le mieux
possible.

Aujourd’hui, les méthodes
employées sont bien plus so-
phistiquées. L’homme, n/ai-
mant pas l’ignorance, l'on se
sert de....“la_vulgarisation
scientifique” pour “éduquer”
les gens. Sous cette nouvelle
forme de “religion”, brouiller.
les esprits avec de fausses
connaissances afin de mainte-

nir les braves gens dans l’igno-'

rance, tirer facilement des
milliards pour permettre a un
certain nombre “d’élus” de
vivre comme des princes de la
crédulité des autres.

Naturellement, comme la
majorité des autres religions
concurrentes, celle-ci... qui
plein d’orgueil se proclame
“La science” contient égale-
ment, dans ses fondements, un
certain nombre de _ vérités.
Mais, comme précédemment
nous les trouvons générale-
ment, soit tronquées, soit
‘exagérées, ou tout simplement
déformées. Comme cela était
pratiqué par les religions du
temps passé... '

Pourtant, si nous n’étions pas
aussi farcis, si nous n’étions pas
aussi bourrés par toutes ces
croyances conventionnelles,
nous donnant I’impression d’é-
tre savants tout en restant
ignorants, nous pourrions cer-
tainement mieux nous adapter
a ce monde et vivre plus
heureux, avec satisfaction,
dans de bien meilleures condi-
tions. :

Mais notre civilisation, a

ancun prix, ne désire notre
réelle satisfaction. Surtout si
cette satisfaction peut étre
durable. Pourquoi? Vraiment
simple. Tout le monde sait que
nous vivons dans une civilisa-
re

tion de “consommation”. Ca
veut dire que nous devons
acheter... 4 tout prix. Il faut
exciter les convoitises, les
désirs, les nécessités, les appé-
tits..etc.. En fait il faut trouver
n'‘importe quels moyens pour
soutirer notre argent de notre
poche... et une personne satis-
faite, heureuse est trop souvent
un client perdu... Voyons! Il
faut créer des envies... toutes
sortes d’envies... de besoins...
de nécessités... d’appétit etc...
pour faire des profits il faut
que l’argent circule, et pour
cela nous forcer a la

=a

Une personne satisfaite n’est
acceptable que si elle ne l’est
que temporairement...

Voila une des raisons pour-
quoi cette civilisation ne peut
apporter de vrai bonheur, et,
en fait est dangereuse pour
tout le monde. Surtout pour
tous ceux qui sont ignorants et
ceux qui n'ont pas atteint une
réelle maturité.

Mais alors quoi faire?? Un
des moyens des plus efficaces
pour nous protéger des in-
fluences dangereuses de ce
monde, est de nous connaitre
nous-mémes... c’est : savoir ce
qu’est notre réelle personnali-
té... de rejeter les explications
trop simplistes qui ont tendan-
ce 4 nous faire croire que nous
ne sommes que des paquets de
viande et d’os ambulants...
uniquement préoccupés a sa-
tisfaire notre balance chimi-
que et métabolique, utilisant
uniquement notre intelligence
pour pourvoir aux besoins de
notre corps. Méme en détrui-
sant l’écologie de cette belle
planéte que l’on appelle terre..

Eh! bien mes amis. Peut-étre
cette éventualité pourrait sa-
tisfaire des illettrés et des
ignorants. Mezis pour ceux qui
ont quelques connaissances...
merci... nous savons que la
personnalité humaine est bien
plus importante que ca. Que
sa destinée n’est pas unique-
ment de satisfaire ses envies
élémentaires...

Dans un article précédent,
nous avons découvert et psy-
chologiquement prouvé que la
personnalité humaine est une
“dualité” et il faut faire
attention de ne pas confondre
“Je contenant” avec le “conte-
nu”. Méme le plus ignorant
des étres humains sait faire la
différence... Quand un ivro-
gne par exemple, est comple-
tement saoul, méme si il ne
voit plus clair, il ne va pas
essayer d’avaler la bouteille en
méme temps qu'il avale le vin
quelle contient...il fait la
différence... Quand nous som-
mes au volant de notre voiture,

x

nous savons que nous sommes
al'intérieur de la voiture, mais
que nous ne sommes pas “la
voiture” nous-mémes. Pour-
tant si quelque chose l’endom-
mage, ¢a nous fait vraiment
mal...

Ici, nous faisons la différen-
ce... mais dans notre corps,
nous y sommes depuis si
longtemps et tellement habi-
tués que nous croyons en fait
que nous sommes uniquement
lui-méme.. 14 nous ne voyons
plus la différence... Pourtant
ce corps réellement n’est pas
nous-mémes.:. Certes, il est
une part importante de nous-
mémes et sans lui, en fait nous
ne pourrions pas vivre... Il
nous procure la possibilité de
vivre sur cette planéte... dans
cemonde... Nous,... les extra-
terrestres..Vous rappelez-
vous, quand le premier astro-
naute américain commenga sa
petite promenade sur la surfa-
ce de la lune... cet énorme et
monstrueux — scaphandre...
pour pouvoir évoluer sur cette
planéte inhospitaliére... Com-
bien de temps aurait-il pu
vivre si le scaphandre avait été
sérieusement endommagé.. ou
si, il lui avait été enlevé. Il en
est de méme pour celui qui
nous fait vivre sur le monde
étrange et inconfortable pour
l’étre humain. Pressez n’im-
porte quel animal... n’importe
quel autre habitant de cette
planéte... excepté l’homme.
Vous verrez combien la vie est
simple pour lui. Il fait bien
partie de ce monde..Mais
nous, étant incapables de nous
adapter 4 notre environne-
ment, nous sommes, et depuis
toujours, obligés d’adapter
l'environnement a _ nous-
mémes.

Oui! c’est vrai, nous sommes
des “étrangers’, des extrater-
restres venus d’un monde
diailleurs et c'est pourquoi
nous avons tant de troubles,
nous trouvant si “inadaptés”.
Oui, une fois cela compris, la
vie prend une autre allure! une
autre raison. une compréhen-
sion qui nous permette de
comprendre nos problémes.
Cette connaissance donne aus-
si l’espoir. Car par la connais-
sance de nos maux, nous
pouvons trouver les remédes
qui donnent: “la maitrise de la
vie”, merveilleux, n’est-ce-
pas?

La semaine prochaine, nous
verrons “la chenille et le
papillon”, “exaltation de la
vie” et conclusion. Nous se-
rions intéressés par vos com-
mentaires. Ecrivez a4 Gilles
St-Eloy au Soleil de Colom-
bieves

assurer son bon ordre et
consiste 4 appliquer les lois
établies. La société doit veiller
elle-méme a son bon ordre.
Mais comme le bien et le mal
ne se trouvent pas clairement
définis, il est de plus en plus
difficile, pour la police, de
jouer son réle dans un drame.
Il existe une relation équivo-
que entre la police et le public.
Les membres du, public s’at-
tendent 4 voir la police appli-
quer la loi et, par ailleurs, 4 ne
pas en tenir compte, aubesoin
et a leur bon gré. C’est une
situation dans laquelle la
police se voit jouer, malgré
elle, un réle de bouc émissaire.

Le public s’offusque de ]’in-
trusion de la police dans ses
affaires, mais la réclame pour
d'autres, en faisant a la fois un
obstacle et un collaborateur.
On demande que le policier
fasse preuve de bonté et on le
condamne de maniére impito-
yable.

I] faut se souvenir que tout
citoyen, indépendamment de
sa position sociale, a droit a
légalité devant la loi. Le
policier lui, a besoin d’une
bonne compréhension de la
part des citoyens et de leur
participation dans le domaine
des relations socio-policiéres et
du maintien de l’ordre. Citons
le principe de Sir Robert Peel
selon lequel la police est le
public et le public est la police.

Gendarme Jacques Lavoie
Détachement de Burnaby

Condition physique
L’indice de
masse corporelle

Au cours des ans, on a mis au’

point un certain nombre d’in-
dices permettant de mesurer
Vobésité chez un individu.
Liindice de la masse corpo-
relle (IMC) constitue une
méthode satisfaisante d’éva-
luer le degré d’adiposité chez
les jeunes. L’IMC est facile a
calculer, ne nécessitant que les
mesures du poids et de la taille.
Il vise 4 établir la proportion
d’adiposité par rapport au
poids, quelle que soit la taille
du sujet. L'indice présume
également qu'il n’existe que
des petites différences de mas-
se corporelle maigre (sans
graisse) chez les sujets de taille
identique. Par conséquent,

plus la valeur de l’IMC est .

élevée, plus la proportion
d’adiposité corporelle est
élevée.

Quand on évalue l’adiposité
au moyen de l’IMC, il est
prudent de tenir compte de la
muscularité des individus. Les
valeurs de l’IMC sont relati-
vement élevées chez les sujets
maigres, musclés, et pesants.
Par contre, ces valeurs sont
bassés chez les sujets minces et
non musclés. Les proportions
d’adiposité chez ces individus,
en comparaison avec les don-
nées normatives, pourraient
induire en erreur. Néanmoins,
l'Indice de la masse corporelle
devrait s’avérer un outil utile
pour les éducateurs physiques
et les autres spécialistes de la
santé qui évaluent la condition
physique.

L’Enquéte condition phy-
sique Canada s'est déroulée
entre février et juillet 1981.
Les enquéteurs ont interrogé
quelque 22,000 Canadiens de
10 ans et plus et ont fait subir
des tests de condition physique
a plus de 16,000 personnes
agées de 7 a 69 ans. Les
résultats sont publiés régulié-
rement dans des rapports
détaillés.

- Les aventures de Simplet

Simplet recherche nos ascendants

Par Michel Monnet .

Il était une fois quelque radioteur aux petites heures
matinales osant prétendre que les singes rient (aucune
importance) et aussi qu’ils sont nos ancétres. Quiconque a
le sens de la famille et quelque dignité se doit penser que
des ascendants pareils déparaillent un arbre généalogique
et que tout un chacun ne peut que refuser a tous poils une
telle pater-maternité.

Lors donc Simplet s’est plongé a corps perdu sur les plus
vieux poussiéreux pappyrus. D'abord Darwin qui pour
avoir jeté l’ancre et un coup d’oeil aux iles Galapagos est
l’auteur d'une simiesque farce. Voici en deux a trente mots
le résumé de son ennuyeux déterminisme: l'homme (la
femme malheureusement aussi) descend du singe qui
descend de l’arbre et aussi d'un poisson a quatre pattes,
lequel fiston d'une étoile de mer a pour pépé et mémé une
quelconque cellule, etc, etc... Enfin une galerie ancestrale
immontrable, nauséabonde et indigeste, capable de
déprécier un album de photos couleur et méme un
vidéo-clips.

En ce temps-la “légérement déprimé, mais non
découragé, Simplet s’en fut au Soleil (Colombien
naturellement) chercher de plus photogéniques arriére-
géniteurs. I] est dans les vastes, immenses et luxueux
bureaux de notre Franco-Faune Gazette une bibliothéque
capable de rivaliser sans crainte avec celle d’Alexandrie
aprés sa destruction par César.

La, parmi des milliers de rayons (bientét laser)
numérotés de un a illimité (comme les cartes de crédit) des
parchemins et autres bouquins, du sanscrit a l’argot et
autres langues vivantes ou moribondes. En fin aprés mille
et une nuits de Chine (du verbe chiner) la vérité apparut
nue comme il convient. La liste des ouvrages consultés,
parcourus, ingurgités, feuilletés et lus va du Pentateuque
et l’Eclesiaste aux plus modernes libres penseurs et méme
des auteurs de science-fiction.

Dans le Popol-Vuh le plus ancien document de l’histoire
de l'homme, “les singes sont les descendants des hommes et
c'est pourquoi ils leur ressemblent”. En quelque sorte,
d'éloignés cousins qui ont mal tourné donc infréquenta-
bles. Parenté a tenir a distance. :

Dans un vieux mais serieux livre sacré connu de tous:

Cha. VI verset “2”. Les enfants de Dieu voyant que les filles

des hommes étaient belles en prirent pour femmes”. Voila
qui donne un aristocratique air et quelques quartiers de
noblesse au blason, a ne pas dédaigner. Et mettre en
tableau sur une cheminée avec auréole.

D’aprés les traditions andines: “la mére de l’humanité
fut une femme trés belle venue de la planéte Venus a bord
d’un astronef”, Un genre de May-Flower. Quelle gloire de
se pouvoir vanter dans une familiale réunion de descendre
d'une amiral féminin du premier commando de

_ débarquement. ;

Sat PR PRMEGSUG Bos.castes FL ene ol
Enfin le plus beau le livre d’Enoch dont il n’existe que —

trois copies, si vieux qu'il fut sans doute publié avant
l'invention de l’écriture: Ch. VII et VIII. “Lorsque les
anges virent les filles des hommes ils se choisirent chacun
une femme et elles enfantérent des géants’. Trés élégant
pédigré a condition de mesurer au moins deux métres,
mais peu brillante ascendance, ce devaient étre sans doute
des anges paillards.

D’aprés le Mahavira de Bhavabhonti acte V et VI: “Ily |

eut un combat entre les démons et les dieux et nous
sommes les héritiers des vainqueurs”. A voir l’humaine
race actuelle, ce ne sont pas les meilleurs qui ont gagné. Ne
vous en vantez pas dans un curiculum vitae. Alors
n’écoutez pas les ignares savants anthropologues ni les
prétentieux maitres a penser, faites votre choix. Et que la
Baraka soit sur vous.

AVOCAT
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Téléphone: [604] 682-3664

Télex: 04-54467

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