Un regroupement de bons amis...........sscecceccsccsccecceccesceecs La mise sur pied d'une ou de plusieurs unités demandait de l'organisation et Jean Lambert, n'ayant pas fait de scoutisme depuis une douzaine d'années, se tourna vers les organisations existantes pour de la formation. Il s'est adressé aux Scouts Catholiques du Québec. "a n'a pas été facile de commencer le scoutisme en frangais ici, en Colombie- Britannique. L'évéque me disait que j'étais mieux de rentrer dans les scouts anglophones, que les jeunes pouvaient étre dans ces unités- Ia. Mais moi, je voulais un mouvement en frangais ! La Boy Scouts n'était pas non plus en faveur de Ga... Je me suis adressé aux Scouts Catholiques du Québec, c'était la seule facon de faire. Il y a un gars qui m'a beaucoup aidé, Jean Tellier qu'il s'‘appelait. Il était ad Montréal dans ce temps-Ida, directeur général des Scouts Catholiques du Québec. Finalement, on a commencé une unité, sous le parrainage des Chevaliers de Colomb. 7 Napoléon Gareau était un de mes bons amis et i] est devenu, a travers le scoutisme qu'on d fait ensemble, comme un frére. Il avait deux gars. Quand je lui ais parlé de faire du scoutisme avec les jeunes, ¢d I'a tout de suite intéressé. C'est un de ceux que ¢a a le plus intéressé, il s'y est consacré par apres, complétement. €a été la méme chose avec René Gamache, qui lui avait un gargon. Lucien Ayotte avait quatre garcons et Noél Rougeau avait aussi une grosse famille, alors on s'est dit qu'on allait d'abord s'occuper de nos enfants..." Jean Lambert, René Gamache, Lucien Ayotte et Napoléon Gareau se sont occupés de la premiére meute, la meute "Notre-Dame', qui comptait 24 Louveteaux. Elle a débuté ses activités en 1955. Les réunions se faisaient dans le sous-bassement de l'église Notre-Dame-de-Lourdes a Maillardville. Ce fut donc la premiére unité a étre affiliée officiellement aux Scouts Catholiques du Québec." Un an aprés la fondation de la premiere meute, une seconde meute vit le jour. Et les activités allaient bon train...