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DECOUPEZ

COMPLETEZ

TIMBREZ

POSTEZ

Que soit adopté ‘le principe d'aceréditation des ensei-
gnants de langue frangaise, formés dame d'autres pro-
winces, particuliérement au Québec, sans que ceux-ci
doivent passer par les universités de la Colombie-Bri-
tannique, qui ne préparent PBS, présentement, des en~
seignants pour d'autres matiéres que le frangais, lan-
gue seconde.

Qu'un secteur universitaire francophone soit établi,
dans ltune = ou plus d'une ~ des universités de la Co-

Llombie-Britannique, en vue d'y recevoir les Francopho» .

nes, particuliérement ceux qui se destinent 4 l'ensei-
gnement en frangais, de sorte que nous ne soyons pas

toujours obligés de compter sur l'importation de talents

canadiens-frangais formés ailleurse

Que chaque école francophone qui s'établira soit, de
rigueur, aussi exclusivement inspirée par la culture
canadienrie-frangaise que l'técole anglophone l'est par
la culture canadienne-anglaise. Que l'anglais y occu-
pe la place de sujet, tout comme le frangais est vu
comme un sujet dans l'école anglophone.

Que l'école soit placée, autant que possible, 1A of
une communauté francophone est apte 4 se développer,
afin que l'école représente, le plus rapidement pos-=
sible, un actif authentique pour la communauté fran-
cophone qui s'y développera.

Vu la nécessité de traiter la langue comme un aspect
seulement de la personnalité culturelle d'un peuple,
que l'on ne craigne pas les aspirations socio-reli-
gieuses des Canadiens-frangais. Que l'effort soit
plut8t mis sur la démocratisation des institutions

CARTE POSTALE
J'apporte ici mon appui au
mémoire de la Fédération des
Franco-Colombiens et demande
la mise sur pied d'un régime
d'enseignement en francais,

AGYESSE & secscecavvecsoeove

SCHERER HOSSOCEHEHASS

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