Tv Volum 2" éditior Février 1999 Suite des Amoureux de Peynet... Musée Peynet « Peynet : Histoire d’un timbre » Si un jour vous visitez la ville d’Antibes, France, n’oubliez pas d’aller voir le petit musée Peynet. Vous y découvrirez la collection «Peynet : histoire d’un timbre» qui est née de la passion et de l’amitié d'un philatéliste pour Raymond Peynet. Jean-Claude Banc, collectionneur de timbres depuis plus de vingt années, se décida a cibler en 1983 ses recherches philatéliques sur le timbre des Amoureux de Peynet. Son amitié pour cet artiste lui permit d’obtenir de ce dernier de nombreux documents originaux qu’il compléta par de nombeuses recherches a travers la France, ce travail débouchant sur une collection de 90 planches retracgant, outre l'histoire du timbre des amoureux, de nombreux travaux philatéliques réalisés par Peynet et anteérieurs a la création du timbre. Parlez-vous francais ? La Presse . 4 oct.1998. L’ceil ouvert des philatélistes remarquera au travers de cette exposition des piéces d’une rareté exceptionnelle, notamment celles empreintes d’un certain nombre d’erreurs d’impressions ou de graphisme. La valeur de certaines de ces piéces atteint plus de 100.000 francs l’unité. (FF) Mais, outre ces valeurs individuelles, la qualité premiére, et sans doute unique en France, de cette collection réside dans le caractére «complet» de la recherche effectuée, chacune des étapes retracant l'histoire de ce timbre ayant été savamment étudiée et presentée. Je me souviens quand jétais petite fille ... j avais la jolie collection des « poupées Peynet». Elles étaient faites en mousse tres douce et le visage était gracieux; ma collection était composée de Valentines en: une jardiniére habillée d’un joli tablier rayé rouge et blanc sur sa jolie robe blanche et tenant dans les mains un petit arrosoir et une petite pelle de jardinage, une mariée avec son long voile de tule, une vacanciére en short et petit polo avec de jolies cothurnes aux pieds, une infirmiére en petite jupe courte portant un petit bonnet coquin.... Chantal. Avaler sa langue. Ne plus parler. Généralement employé au passé défini (tu as avalé ta langue ?). L’expression signifiait au XXe siécle «s’ennuyer beaucoup» et aussi «mourir». Robert précise que seul le sens de «garder le silence obstinément» s’est conservé. Diverses variantes (on t’a coupé la langue, tu as mangé ta langue ?) existent, sans étre figées en locutions.