Sur le cable. KELOWNA KAMLOOPS TERRACE PRINCE GEORGE DAWSON CREEK CHILLIWACK KITIMAT pod pe pe POL. ese bt ht G2 mt GO CR Go Go DO q } aad 6EGEXb aw Oh TELE SOLEI Programmes de la télévision fran VENDREDI 5 JUILLET 1985 caise de Radio-Canada Les multiples talents d’une vedett vendredi 12 juillet 1985, 21h00 Superstar Le vendredi 12 juillet a 21h00, la télévision de Radio- Canada présentera, en reprise, l’émission Superstar avec le monologuiste Yvon Des- champs. Une émission animée par Jacques Boulanger et réali- sée par Auréle Lacoste. Yvon Deschamps Né a Montréal en 1935, Yvon Deschamps a fait ses études pri- maires a I’Ecole supérieure de Saint-Henri et il a suivi des le- cons de piano avant de devenir messager 4 Radio-Canada en 1953. C’est en jouant dans une piéce de boulevard avec Georges Groulx et Denyse Pel- letier qu’il va découvrir sa pas- sion pour le théatre. I] décide alors de prendre des cours chez Georges Groulx, Frangois Ro- zet et Paul Buissonneau. Et, en 1958, année ot il quitte Radio- Canada, il va méme jouer dans une piéce de Racine au Théatre universitaire canadien, Andro- maque, dans laquelle il tiendra le role de Pylade. Il commence alors une véri- table carriére de comédien et fait ses débuts a La Roulotte, le théatre itinérant de la Ville de Montréal que dirige Paul Buis- sonneau. I] joue au théatre de La Poudriére, 4 L’Egrégore et dans les séries pour enfants a la télé- vision de Radio-Canada. On le voit dans Piccolo et, plus tard, dans Domino. En 1964, il fonde le Théatre de Quat’Sous avec Paul Buissonneau, Claude Lé- veillée et Louise Latraverse. II joue dans un premier film, Déli- vrez-nous du mal, scénario de Claude Jasmin, réalisation de Jean-Claude Lord, et ouvre un restaurant dans le Vieux-Mont- réal... En 1968, naisSance de’ I’ Osstidcho avec Robert Charle- bois et Louise Forestier: Yvon Deschamps nous donne un pre- mier classique, Les Unions, qu’ossa donne. Voila donc les principales étapes de la carriére d’°Yvon Deschamps avant qu’il ne devienne le plus célébre mo- nologuiste du Québec, «le _ maitre incontesté de ce grand art du monologue», selon le journa- liste J.-V. Dufresne. Deschamps au travail Au sujet de sa méthode de travail pour écrire un monolo- gue, Yvon Deschamps s’est ex- Inventer pour vivre dimanche 7 juillet 1985, 20h50 Les Beaux Dimanches: Histoire des inventions «Le premier inventeur, c'est Dieu», dit Albert France Lanord au début de la série télévisée Histoire des inventions dont nous verrons le premier épisode dans le cadre des Beaux Di- manches le 7 juillet 4 20h50. Et en réponse 4 I’assertion du créateur du musée du fer de Nancy, sa collaboratrice An- nette Laumon réplique: «Et c’est Eve quia inventé le péché, donc obligé homme 4 inven- ter». L’Histoire des inventions remonte donc a la nuit des temps. \ Aprés avoir exploré les sen- tiers de l’aventure maritime, aé- ronautique, automobile et ferro- viaire, Daniel Costelle nous propose donc une nouvelle série qui vient couronner ses voyages a travers le temps et.lhistoire. Mais comment va-t-il procéder pour nous faire partager son im- mense curiosité pour I’homo in- ventor? La voiture qui parle, expéri- mentée par Daniel Costelle au Japon, ne doit pas faire illusion: l’esprit inventif n’a pas attendu le XX* siécle pour se manifes- ter. On a découvert des bols chi- nois qui ont prés de 9 000 ans et les historiens affirment, preuves al’appui, que la faucille, le mar- teau, le clou et l’épingle n’ont pas évolué depuis 2 000 ans. Et si on veut entreprendre une classification des inventions, on peut suivre l’itinéraire suggéré par Daniel Costelle lorsqu’il réunit dans une belle séquence tout ce qui a rapport a la table depuis invention du pain cuit et des baguettes par les Chinois en passant par la fourchette in- troduite en France a la cour d’Henri III. Le chapitre de la mode n’est pas le moins intéressant depuis histoire de la soie inventée elle aussi par les Chinois jusqu’au tweed anglais. Dans les prochains chapitres de son Histoire des inventions, Daniel Costelle parlera d’inven- ter le monde, dinventer I'in- connu, W@inventer pour inven- ter, d’inventer pour tuer et, en- fin, d’inventer pour le plaisir. C’est dire que nous verrons défi- ler tout ce qui a passionné le plus grand inventeur de tous les temps, Edison, et ses émules: depuis les jouets jusqu’aux armes atomiques en passant par les instruments de torture et autres inventions diaboliques... L’Histoire des inventions aux Beaux Dimanches le 7 juillet a 20hS0. " a . 21h00. pliqué trés clairement dans une entrevue a une équipe du maga- zine Québec frangais a laquelle il disait, en mars 1983: «Je me donne dix ou onze mois pour écrire un spectacle que je présenterai ensuite |’an- née suivante. Tous les matins, pendant quatre heures, je m’as- seois et je griffonne des choses: des mots, des phrases, des rimes. Tout pour que la feuille ne reste pas blanche. Une suc- cession d’incohérences. Sou- dainement, sans avertir, une phrase s’ajuste 4 une autre; un jeu de mots s’accroche a une image dréle. Quelque chose prend forme. Mais |’écriture m’est une tache trés désa- gréable. C’est la scéne que j'aime, la présence du public. Comme je dois trouver des choses nouvelles, je me sers de la date d’échéance. Elle devient ma principale source de motiva- tion. Au début de ma période d’écriture, je cherche tellement Vidée géniale que je n’avance a rien. Je rejette tout. Méme les bonnes idées, sous prétexte qu’elles ne sont pas neuves. Evidemment, plus la date du spectacle approche, plus je suis Yvon Deschamps sera I’ invité de Superstar le vendredi 12 juillet a conciliant. A deux mois du dé- but, je me rappelle que la moindre petite chose peut deve- nir un chef-d’oeuvre entre les mains d'un artiste! Et que l’on reconnait le talent a la forme que lon insuffle a la matiére». A l’émission Superstar, |’a- nimateur Jacques Boulanger nous offrira une bréve rétros- pective de la carrigre d°Yvon Deschamps qui nous permettra d’apprécier les multiples fa- cettes de son immense talent a la scéne, a la télévision et au ci- néma. Yvon Deschamps a préparé quelques numéros pour cette émission: deux chansons, C'est le temps del’ amour et Pour mon idole, et deux monologues. Il parlera d’une oeuvre a laquelle il consacre beaucoup de temps, Oxfam, cet organisme qui vient en aide aux plus démunis de la terre. Et tous ceux qui ont déja vu cette Emission savent qu’Y- von Deschamps aura le plaisir d’y rencontrer Frangois Rozet, Gilles Latulippe et le comique frangais Raymond Devos. L’or- chestre est sous la direction de Libert Subirana. Football canadien a compter du dimanche 7 juillet 1985, 17h50 La nouvelle saison 1985 du Football professionnel cana- dien promet a tous les amateurs plusieurs matches excitants, 17 en saison réguliére suivis des éliminatoires qui nous entraine- ront au coeur de I’action. Le dimanche 7 juillet a 17h90, la télévision de Radio- Canada diffusera en direct du Stade Taylor Field de Regina le match opposant les Roughriders de Saskatchewan aux Rough Ri- ders d’Ottawa. Le commentateur Pierre Du- fault sera entouré de l’analyste Pierre. Dumont, de |’animateur Camille Dubé et du statisticien Robert Maillé. Réalisateur: Frangois Lavallée Réal.-coord.: Jacques Viau Horaire de diffusion Dimanche 7 juillet, 17h30 Ottawa 4 Saskatchewan Vendredi 19 juillet, 21h00 Montréal 4 Saskatchewan ‘Dimanche 28 juillet, 13h30 +, Calgary a Ottawa ;Dimanche 11 aoat, 16h00 Montréal a Calgary Dimanche 25 aoit, 15h00 Calgary 4 Winnipeg Lundi 2 septembre, 19h00 Montréal 4 Hamilton Samedi 7 septembre, 13h30 Winnipeg a Ottawa Vendredi 13 septembre, 20h30 Montréal 4 Winnipeg Dimanche 15 sept., 15h30 Edmonton a Saskatchewan Dimanche 22 sept., 13h30 Ottawa a Hamilton Dimanche 29 sept., 13h30 Montréal 4 Ottawa Samedi 5 octobre, 19h30 Edmonton a Hamilton Dimanche 6 octobre, -13h30 Toronto a Ottawa (ou Expos) Samedi 12 octobre, 16h00 Montréal 4 Edmonton Lundi 14 octobre, 13h00 Saskatchewan & Hamilton Dimanche 20 octobre, 13h30 Calgary a Toronto Dimanche 27 octobre, 13h30 Montréal a Toronto Dimanche 10 nov., 13h30 Demi-finale de l'Est Dimanche 17 nov., 13h30 Finale de l'Est Dimanche 17 nov., 16h30 Finale de l'Ouest Dimanche 24 nov., 13h00 Coupe Grey & Montréal __ N.B. Les parties ne sont pas té- lévisées dans la région du club jouant.a domicile. James Bond 007 contre Docteur No lundi 8 juillet 1985, 19h35 James Bond Les amateurs de films d’es- pionnage retrouveront chaque semaine, pendant la saison d’été, leur agent secret préféré, James Bond. Dans le cadre de cette série de onze films d’espionnage, la té- lévision de Radio-Canada diffu- sera le lundi 8 juillet 4 19h35 une seconde aventure du héros, James Bond 007 contre Docteur No. Réalisée d’aprés le roman d’Ian Fleming, cette production britannique met en vedette Sean Connery, la trés belle Ursula Andress et Joseph Wiseman. James Bond est envoyé a la Jamaique pour enquéter sur la mort d’un de ses collégues des services secrets britanniques. Pour découvrir les assassins, Bond doit déjouer tous les piéges qui lui seront tendus suc- cessivement par un professeur a la solde de Docteur No et par une ravissante Chinoise. James Bond réussit toutefois 4 débar- quer dans Ile mystérieuse ot se cache l’étrange Docteur No qui a mis au point un dispositif élec- tronique destiné a faire exploser en vol les fusées lancées depuis le Cap Canaveral. Une fois dans Vile, l’agent secret et une jeune femme du nom de Honey seront faits prisonniers. IIs en sortiront aprés avoir déployé astuce et courage. Voila un film qui se déroule dans un décor exotique que |’au- teur s'est appliqué a peindre avec beaucoup de soin. Ce drame d’espionnage oi s’entre- mélent humour, action et sus- pense constitue un excellent di- vertissement a la condition tou- tefois d’entrer dans le jeu et de se laisser mener par I’action. Sean Connery, qui est un ex- cellent judoka, donne une re- marquable interprétation de son personnage du célébre espion dans James Bond 007 contre Docteur No présenté dans le cadre de James Bond, le lundi 8 juillet 4 19h35. Réalisation: Terence Young Joseph Wiseman, Sean Connery et Ursula Andress sont les vedettes de James Bond 007 contre Docteur No présenté dans le cadre de James Bond le lundi 8 juillet 4 19h85 . Une comédie policiére: Les Anges gardiens jeudi 11 juillet 1985, 19h35 Les Grands Films La comédie policiére Les Anges gardiens, version fran- caise du film américain Freebie and the Bean, sera a l'affiche des Grands Films le jeudi 11 juillet & 19h35, a la télévi- sion de Radio-Canada. _. Les policiers Freebie et Bean ‘révent d’avancement mais ils doivent, pour |’obtenir, poser des actes d’éclats. Ils suivent ensemble une piste qui les mé- nera a un chef de la pégre, Myers. Au moment oi ils croient avoir enfin trouvé les preuves nécessaires pour |’incri- miner, les deux policiers ap- prennent que celui-ci est sur le point d’étre assassiné par le syn- > dicat du crime; ils arrétent donc Myers pour le protéger, mais leur geste est tres mal accepté par leurs supérieurs de la police qui demandent |’élargissement du respectable criminel. Dési- reux de protéger leur homme contre toute tentative d’assassi- nat, ils devienneyt ses anges gardiens et parviendront, d’ail- leurs, a éviter quelques tenta- » tives de -meurtresaur prixe din nombrables poursuites specta- culaires. S’inscrivant dans une vague de films ov le travail du policier est décrit avec un mélange de cynisme et de sympathie, la comédie policiére Les Anges gardiens se déroule dans le bruit et la fureur. Des scénes enle- vantes et des effets de surprise ajoutent au climat de cette pro- duction. Les Anges gardiens nous en font voir de toutes les couleurs: les motos font du sla- lom sur les carrosseries des voi- tures, les pneus crissent, les si- rénes hurlent et les coups pleu- vent. L’intrigue fera voir des cascades incroyables. Les Anges gardiens, inscrits au programme des Grands Films du jeudi 11 juillet a 19h35 , nous. exposeront les aléas du travail policier et la cor- ruption qui hante les grandes villes. La distribution comprend Alan Arkin; James Caan et Jack Kruschen.