Mh as aiden’ VOL. 10 NO. 9 LES 24-25-26 JUIN : On se ren Le Comité de la Francoféte. En haut, de g.ad.: M. Cété, publicité; Mlle Suzanne Morin, secrétaire; Rosaire Lambert, matériel; M. Jean Aussant, trésorier; M. Yvan Malboeuf, président; Mme Pauline Brow, nourriture. En bas, de g. A d.: Mme Amélie Gareau, hébergement; Mlle Christiane M. Jean Riou. Mme Jeannette Baillaut, vice-présidente. Absents: M. Germain Fortier, programmation; M. Arcel Girard, transport; Mme Evelyn Christie, publicité; Lundi dernier, Ja Fédération des Francophones Hors Québec -a tenu une conférence de presse a Ottawa pour faire le point sur le récent dialogue ayant eu lieu avec le premier ministre Trudeau. La F.F.H.Q., via son président, M. Donatien Gaudet, -a dénoncé véhemment la politi- que du Seerétariat d’Etat a _ Végard des minorités francopho- . nes vivant au Canada. -La F.F.H.Q. espére ainsi repréciser aM. Trudeau le hien-fondé de cette demande de création d’un mécanisme d’Htat qui devrait étre instauré en vue de soutenir les plans de développement des communautés francophones hors Québec. Dans cette optique, la F.F.H.Q. a demandé au gouver- nement fédéral de mettre sur pied une commission inter-minis- . Prix de mérite Trois éléves les plus méri- tants(es) des trois écoles indé- . pendantes: Fcole St-Sacrement, Ecole N.D. de Lourdes, Ecole N.D. de Fatima, recevront cha- cun un prix de mérite en francais, offert par Ja Fédération _ des Franco-Colombiens. Ce prix est destiné 4 souligner le travail d’un(e) éléve de chacu- ne des trois écoles dans le domaine de l’enseignement du et » en frangais. Léléve choisi(e)_ par les professeurs de l’école recevra une plaque souvenir de son prix et son nom sera inscrit sur une. plus grande plaque, laquelle sera exposéée a I’école. Ce prix de la F.F.C. touche principalement les éléves finis- eek la Wns année. epomians, ‘il est possible que le prix soit aussi décerné a un(e) éléve de la 6iéme année si I’école le juge nécessaire. En offrant ce prix, la F.F.C. répond ainsi a J’une des résolu- tions de son assemblée générale - qui. était d’encourager l’usage d’un bon francais parmi notre communauté. Le conseil général de la F.F.C. aura, a sa prochaine réunion, a considérer un ou des prix sem- blables pour lenseignement du et en francais dans les écoles publiques. La F.F.C; est done heureuse de ce premier pas afin d’attein- dre l’objectif principal qui est d’encourager les jeunes a la 3 -Pratiane, de notre langue. La F.F.H.Q. se radicalise ... térielle qui soit permanente et qui fera des comptes-rendus au ‘Conseil privé. Pour justifier cette revendication, la F.F.H.Q. a levé le voile sur une foule de griefs accumulés a |’endroit du Secrétariat d’Etat. Parmi les plus importants, notons: une mauvaise coordonnation entre les programmes qui débutent au début avril et l’arrivée des subventions en juillet. la nomi- nation de certains fonctionnaires qui occupent des r6les plus ou moins clairs au sein du ministé- re, l’élaboration de programmes sans aucune consultation, le manque de fermeté et d’autorité dans les programmes destinés aux minorités de langue officiel- le, la confusion qui régne au Secrétariat d’Etat a savoir qui prend les décisions,.une réparti- tion des budgets qui ne tient compte d’aucun besoin particu- lier, une politique de chantage a certains endroits au Canada ot on laisse planer Je sous-entendu que les subventions peuvent étre coupées si... ete. Ces critiques trés acerbes a Yendroit du Secrétariat d’Etat se radicalisent de plus en plus. D’une part, la F.F.H.Q. revendi- ‘que une politique globale de développement des communau- tés francophones et. d’autre part il semble que le champ d'action: (Suite Ala p. 2). > Se jasacata ids is Vendredi 24 Juin 1977 par Mare BELIVEAU C’est au cours de la fin de semaine des 24-25-26 juin que se tiendra 4 Maillardville. au com- plexe de l’école Centennial, la Francoféte 1977. J] aura fallu des mois de préparation pour organi- ser cette manifestation franco- phone provinciale. Des franco- phones et francophiles des qua- tre coins de la province sont attendus durant ces trois jours de festivités. I.es organisateurs de la Francoféte, dans le but de plaire au plus grand nombre de gens possible, ont tenté de concentrer dans deux jours d’ac- tivités une série de rencontres ‘sportives, de récitals, de piéces de théatre, de kiosques d’infor- mation sur les organismes fran- cophones. Au cours des derniers mois, une foule de collaborateurs sont venus préter leur concours aux organisateurs de la Francoféte. Chacune des régions de la pro- vince a tenté, de son cdté, de contacter des personnes intéres- séees a participer 4 ce rassem- blement provincial. Une vaste campagne de sensibilisation a été entreprise 4 travers la province et c’est cette fin de fe NOSQire LORTIF 55 2venu ST-VInoryn Poe eS es “ PAUL, LAVAL d ala Francoféte! semaine qui couronnera de suc- cés la réalisation d’un tel projet collectif, c’est du moins le voeu des organisateurs de la Franco- féte. : C’est avec une subvention de $7,000 provenant du Secrétariat d’'Etat, la participation des deux Caisses Populaires — Maillard- ville et St-Sacrement — des dons personnels de tout ordre et un bénévolat remarquable que cet- te Francoféte 1977 aura pu étre organisée. Au cours de cette fin de semaine, il y a une foule d’activités qui intéresseront les personnes présentes. L’ouverture officielle dura lieu vendredi, 24 juin, lors d’un vin et fromage qui est une gracieuseté des Caisses Populaires de Mail- lardville et St-Sacrement. A cette occasion, des hommes poli- tiques, des représentants de divers organismes, seront pré- sents pour inaugurer la Franco- féte. M. Guy Cété, annonceur a CBUF-FM agira comme maitre de cérémonie. Une féte populaire telle que la Francoféte serait terne si on avait demandé aux gens d’agir (Suite a la p. 2) A WEST VANCOUVER: Une école d’imm Le 15 juin, au Gleneagles Community School, environ 85 personnes, parmi lesquelles figu- raient des directeurs d’écoles élémentaires, des professeurs d’anglais et de francais, des commissaires scolaires, des coor- donnateurs de francais et une “délégation des Parents de Nord Vancouver pour le francais, se sont réunies pour écouter M. Bill © Hay, Principal de |’Ecole Bilin- gue de Vancouver, sur le sujet de |’établissement d’un Centre d’Immersion en Frangais. La réunion était parrainée par l’As- © sociation des Parents de Quest Vancouver pour la la Langue Francaise (“West Vancouver's ‘Parents for the French Langua- ge” - P.F.I..). M. Hay, Ecossais, a requ sont dipléme en francais et en alle- mand de l'Université de Glas- . gow. I] a enseigné pendant de nombreuses années au niveau élémentaire, et A Montréal, a passé deux ans a enseigner a des enfants doués. M. Hay fut le enineipal du premier program: | me dimmersion: ‘en, pratt en immersion ? 7éme année de Montréal, a Yécole élémentaire Elm Grove, une .école de quartier. Il devint ensuite Principal de I’école Ros- lyn de Montréal ot il prit en M. BILL HAY charge un programme pilote d’immersion en francais primai- _ re, basé sur l’expérience réussie a St. Lambert. _En réponse 2 de nombreuses “(Suite a la p.'9)... 4 ne ae ®t ee et ae cl lA AN lll See ak a er ee St ie Oe en UN Oe st SE Ge) Gs | a ee eS