| | | ee ee een rn eT OT nn Cee ie Tene meee Ld, cea a Cor eae a La construction d’habitations | OU sont les gouvernements? a la baisse Selon l’enquéte de «Canada Mortgage and Housing Corporation» (CMHC), le mois de juillet a été beaucoup moins chargé pour les contracteurs en habitation du Vancouver métropolitain et de la région. Comparativementau mois de juillet 1994, les projets de construction ont subi une baisse de 30 pour cent. «Les projets ne démarrent pas. La plupart du temps, la construction des condominiums ne débutent pas avant d’avoir effectué les premiéres ventes», explique Lucia Su, analyste du marché de CMHCa4 Vancouver. «Les activités de promotion et de vente CRTC ON2, ie CRTC ivi AVIS PUBLIC Avis public CRTC 1995-132. Alasuite de I'avis public CRTC 1995-131, le CRTC fait un appel d'observations concernant: PROJET DE MODIFICA- TION DE L'ORDONNANCE D'EXEMPTION RELATIVE AUX ENTRE- PRISES D'EMISSIONS VIDEO EN CIRCUIT FERME. Les observations écrites doivent parvenir au Secrétaire-général, CRTC, Ottawa (Ont.) K1A disponible en communiquant avec la salle d'examen du CRTC au (819) 997- 2429 et au bureau du CRTC & Vancouver (604) 666-2111. Conseil de la radiodiffusion et des telécommunications canadiennes AVIS PUBLIC Avis public CRTC 1995-130, Le CRTC a été saisi de la demande suivante: 1. [ENSEMBLE DU CANADA. Demande (951177500) présentée par LES COMMUNICATIONS PAR SATELLITE CANADIEN INC. (la Cancom) en vue de modifier la licence l'autorisanta exploiter l'entreprise a voies multiples de distribution (relais) de services de télévision et de radio par I'ajout de WBZ-TV (CBS) et WCVB-TV (ABC) Boston (Massachusetts) a la liste des signaux qu'elle est autorisée a distribuer. EXAMEN DE LA DEMANDE: 10e Stage, 50 0., ch. Burnhamthorpe, Mississauga (Ont.). Le texte complet de cette demande est disponible en communiquant avec la salle d'examen du CRTC, Edifice central, Les Terrasses de la Chaudiére, 1 promenade du Portage, Piéce 201, Hull (Qc) J8X 4B1, (819) 997-2429; et au bureau du CRTC a Vancouver: 800, rue Burrard, Piéce 1380, C.P. 1300, Vancouver (C.-B.) V6Z 2G7 (604) 666-2111. Les interventions écrites doivent parvenir au Secrétaire général, CRTC, Ottawa (Ont.) K1A ON2 et preuve qu'une copie conforme a été envoyée au requérant Je ou avantle 7 septembre 1995. Pour de plus amp!es renseignements sur le processus d'intervention, communiquez avec les Affaires publiques du CRTC a Hull au (819) 997- 0313, fax (819) 994-0218, ATS (819) 994-0423. Conseil de la radiodiffusionetdes | Canadian Radio-television and telécommunications canadiennes devront étre travaillées d’ici la fin de l’année, afin de reprendre le terrain perdu», ajoute-t-elle. Helmut Pastrick, également du CMHC, semble plus optimiste. I! remarque une légére hausse pour les ventes de maisons unifamiliales. Au niveau national, la situation n’est guére plus reluisante. La plus grande baisse a été enregistrée en Ontario avec 30% en moins de projets de construction. Toutes les autres provinces ont également été affectées par un vent de ralentissement au niveau du logement, sauf celles des Prairies. Canada . Le texte complet de cet avis est Canadian Radio-television and Telecommunications Commission Canada Telecommunications Commission Avec toutes les négociations entreprises par les clans autochtones et qui sont présentement sur la table a Ottawa en vue de former un gouvernement indépendant, la question des pourparlers entre le Conseil tribal Nisga’a du nord-ouest de la Colombie-Britannique et les teprésentants des deux paliers de gouvernement ne peut pas mieux tomber. On se souviendra que le clan de la nation Nisga’a avait quitté la table des négociations devant le refus du gouvernement fédéral d’avancer une offre financiére spécifique. (Voir a ce sujet l’article du Soleil du 21 juillet en page 3). Cette semaine le Conseil a incité ardemment le provincial et le fédéral de reprendre les négociations, 14 ot elles avaient été interrompues. «Nous avons expressément demandé 4 Ron Irwin, ministre des Affaires indiennes et John Cashore, ministre des Affaires aborigénes de la Colombie-Britannique, qui avaient déja tout deux travaillé a lV’entente, de revenir parlementer. _ Mais ils ont refusé d’étre ensemble, assis avecnous dans laméme piece», commente Joseph Gosnell, président du Conseil tribal Nisga’a. «Nous entendons, de part et d’autre, des commentaires disant que chacune des parties se sent coupable d’avoir mené les négociations dans une impasse. Mais nous avons tous échoué. Maintenant une crise se profile a cause des querelles entre le fédéral et le provincial», ajoute le Chef Gosnell. Le message du clan Nisga’a est clair. Si les deux paliers gouvemementaux ne peuvent pas trouver une entente possible pour la répartition des territoires de la province aux autochtones, quel espoir reste-t-il aux autres premiéres nations de la Colombie-Britannique pour leurs revendications territoriales? «Nous avons la responsabilité d’informer toutes les tribus amérindiennes de la province, Aprés tout, nous avons négocié pendant plus de 19 ans», déclare Gosnell. «Nous ne pouvons qu’espérer que le fédéral et le provincial seront a méme de résoudre leurs disputes avant la date fixée pour la prochaine session de négociations, soit le 15 septembre prochain», conclut le président du Conseil Nisga’a. SL. Etre mére et ne parler qu’ espagnol a Vancouver Le gouvernement de Mike Harcourta versé 45 000 dollars a l’organisme -| MOSAIC (Multilingual Orientation Services Association for Immigrant | Communities) afin d’aider les méres immigrantes, parlant uniquement espagnol, a s’intégrer a la vie canadienne. «Le programme offert par MOSAIC est une ressource indispensable pour les méres immigrantes qui ne parlent pas encore l’anglais, mais qui ont besoin d’avoir recours aux services sociaux et de santé», a déclaré Joy MacPhail, ministre des Services sociaux. Elle a ajouté qu’en aidant ces femmes a devenir des actrices importantes au sein de la société canadienne, nous aidons a renforcer V’intégration des familles d’immigrants. Irene Policzer, coordon- natrice des programmes familiaux chez MOSAIC, trouve que le projet est un pont entre la vie latino- américaine et la vie au Canada. «Avoir accés a des informations sur des questions d’ordre familial dans sa langue maternelle est relaxant et rassurant, Les méres apprennent a connaitre les services offerts a la communauté et les ressources disponibles. Plusieurs par la suite s’impliquent comme bénévole», mentionne-t-elle. Une trentaine de participantes assistent au programme offert hebdoma- dairement 4 MOSAIC. Des ateliers sur l’estime de soi, Ja citoyenneté, la violence familiale, 1’entre- preneurship, la nutrition et la santé, leur sont alors proposés. Le Soleil de Colombie-Britannique, vendredi 18 aodt 1995 - 4 Formation en multiculturalisme Connaissez-vous plus d’une langue? Désirez-vous utiliser vos aptitudes afin d’aider les gens 4 obtenir des services dans leur communauté? Nous fournissons la formation et vous donnons la chance d’acquérir des expériences dans le milieu du travail et de mieux connaitre les services offerts 4 la communauté. Le Centre de bénévoles de Bumaby (The Bumaby Volunteer Centre) est 4 la recherche de bénévoles qui voudraient participer au programme de plurilinguisme et de multiculturalisme. Les personnes qui maitrisent une autre langue que l’anglais sont fortement invitées 4 s’y inscrire. Le but du programme est de former des bénévoles qui seront amenés 4 délivrer V’information et a référer adéquatement les personnes qui ont besoin d’accéder 4 un quelconque service offert par la communauté. Des services d’interprétation seront également mis sur pied. Comme juste retour des choses, pour votre engagement le Centre de bénévoles de Burnaby s’engage a vous fournir une formation gratuite auxniveaux du service d’interprétation, des communications inter-ethniques et du service 4 lacommunauté. La formation débutera 4 la fin de septembre. Sile programme vous intéresse, vous pouvez obtenir plus d’informationsencommuniquant | avec William Hamson, coordonnateur «Multicultural/ Multilingual Workers» au: 294- 5533. Selon Harcourt, les méres immigrantes coupées des res- sources offertes par leur communauté d’adoption, étant donné la barriére linguistique, peuvent se sentir isolées et ne pas s’intégrer 4 la vie canadienne, manquant tout ce que la Colombie- Britannique peut leur donner. «Les résultats fort encourageants de ce programme font une grande différence pour toute | la communauté», a-t-i] ajouté. eG Un taux record dans les exportations Le ministre de I’Emploi et de l’ Investissement, Glen Clark, était fier d’annoncer que la Colombie- Britanniquea atteintunrecord au niveau du marché des exportations, avec un profit de 22,8 billions de dollars. «En 1991, la Colombie- Britannique exportait des biens et produits pour un peu plus de 15 billions de dollars. En a peine trois ans, les exportations ont fait un formidable bond en avant avec une augmentation de 50%. Avec le marché de l’emploi actuel et les plans d’investissement, nous travaillons présentement a assurer une croissance continue», explique ~ Glen Clark. Pourl’année 1994 seulement, les exportations commerciales ont augmenté de 23% avec |’Union Européenne, de 14% avec le Japon et de 23% avecles Etats-Unis. Cette hausse s’accentue en 1995, dépassant de 26 % la moyenne des exportations 4 la méme période |’an passé, soit les premiers cing mois de l’année. Le marché de I’Asie La Colombie-Britannique poursuit ses bons termes économiques avec le marché de l’Asie. Avec une croissance de l’exportation en 1994, de 27 % avec la Corée, de 28% avec Hong-Konget de 48% avecle Vietnam, la province tient bien les rennes de 1’économie- du «Pacific Rim». «Notre provinceaun marché d’export plus diversifié que le Canada au complet», mentionne Clark. «La Colombie-Britannique exporte 35% de ses biens vers l’Asie et 54% vers le marché américain. Le Canada, quant a lui, expédie 81% de sa marchandise aux Etats- Unis et uniquement 9% aux pays du Pacific Rim» ajoute-t-il. De janviera avril, on peut noter déja une croissance sensible de 61% dans les exportations vers l’Asie, excluant le Japon, comparativement avec 1994. Pour le pays du soleil levant, l’augmentation est évaluée 4 42%. Selon le ministre de |’ Emploi et de |’Investissement, la stratégie demarketing agressive de la province et l’ouverture sur le marché international d’exportation ont permis a la Colombie-Britannique d’atteindre cet accroissement plus que significatif pour les premiers mois de]’année 1995. Toujours selon Clark, il suffitde continuer les efforts entrepris pour dépasser les prévisions économiques en matiére d’exportation. SLC.