:. - femployé(e) a qui la personne s'est adressée 4- Le Gace Colombie, vendredi 23 octobre 1987 tll soles. th thahees sscntyco yo lsio. 33 a a eae ne eet et ent ht ne a a ae COMMISSAIRE AUX LANGUES OFFICIELLES Jouons et gagnons... le francais 1. EnColombie-Britannique, combien y a-t-il de bureau(x) de poste qui offre(nt) des services bilingues? - aucun - tous - moins de 5 - de 6 a 10 - plus de 10 TA90 Op 2. Est-ce que vous pouvez vous adresser a l’ombudsman de la Colombie-Britannique lorsque vous avez des problémes de communications (dis au fait que vous ne parlez pas l'anglais) avec un bureau du gouvernement provincial? a - oui b - non 3. Vous ne pouvez pas rédiger votre chéque uniquement en frangais lorsque vous réglez un achat. a - vrai b - faux c - selon le cas 4. Est-il vraiment toujours utile d’appeler le Commissariat aux langues officielles 4 chaque fois que vous n’obtenez pas de services en francais dans un bureau du fédéral ou d’une société de la couronne? a - oui b - non c - selon le cas 5. Le fait de toujours demander a vous faire servir en francais poussera les ministéres 4 mettre ces services en place. a - vrai b - faux 6. Quand une personne porte plainte auprés du Commissariat aux langues officielles parce qu’aucun employé ne parlait francais, qui va avoir des problémes? - la personne c - les deux d - ni l’une, ni l’autre 7. Est-ce que la personne qui informe le Commissariat aux langues officielles d'un manque de service sera toujours tenue a ce que son nom soit révélé? a - oui b - non c - selon le cas Chantal Rivest Agent de liaison du Commissaire aux langues officielles Réponses Vancouver page 8. Tél. (604) 929-1483 ] SCOLAIRES ET AUTRES GROUPES CONCOURS JOURNAL-JEUNESSE EN RAISON DU CONFLIT POSTAL, LA DATE LIMITE DU CONCOURS EST REPORTEE AU VENDREDI 6 NOVEMBRE. PUBLICATION DU PREMIER NUMERO LE VENDREDI 27 NOVEMBRE DANS LE SOLEIL DE COLOMBIE (GRATUITEMENT AUX ABONNES) DISTRIBUTION A PRIX SPECIAL OFFERTE AUX ASSOCIATIONS DE PARENTS, COMMISSIONS INTERESSES _ | : POUR OBTENIR PLUS DE DETAILS OU POUR PLACER COMMANDE ECRIRE’‘AU? oes eS SOLEIL DE COLOMBIE, 3283 MAIN, VANCOUVER, CB, V5V 3M6 OU TELEPHONER AU 879-6924 _gaillardement le ENTRE 9HOO ET 11HOO _INFORMATION Commonwealth Margaret Thatcher isole ses 47 partenaires... Suite de la premiére page Margaret Thatcher. Le Premier ministre britannique est demeu- ré.- inflexible, fidéle= a sa réputation de Dame de fer (ce ‘surnom fait injure au métal). Animée de fermes principes, elle réfute l’idée selon laquelle les pressions économiques pour- raient assouplir la position du gouvernement sud-africain. Elle proclame haut et fort 1'ineffica- cité de telles mesures, non sans rappeler que leur application défavoriseraient avant tout les Noirs. Son limpide, voire logique : sanction implique ralentissement de l’éco- nomie qui implique chémage pour lesNoirs. Clair, net, précis. Et incomplet! Car Margaret Thatcher ne dit pas que la Grande-Bretagne est le partenai- re économique privilégié de l'Afrique du Sud, que des sanctions envers Prétoria affaibli- raient sa propre économie. A elle seule, la Grande-Bretagne com- merce plus avec l’Afrique du Sud que tous les autres pays du Commonwealth. Du vrai pipi de chat! : L’étape vancouvéroise a donc confirmé |’inflexibilité thatché- rienne que Brian Mulroney, soutenu par tous les autres acteurs du Commonwealth (Gandhi, Hawke et consors), a combattu en vain. * Le Premier ministre canadien étant l’héte de la conférence, il devait «exister». I] devait y jouer un réle. Il l’a fait, enfourchant cheval de bataille des sanctions économi- ques. Un théme sans risque... De son combat perdu d’avance contre Margaret Thatcher, Brian Mulroney sait que l’on retiendra plus le mépris affiché par Maggie que la défaite du Premier ministre canadien. Brian Mulro- ney réussit 14 un joli doublé : sur le plan intérieur, il fait connaitre ses idées antiracistes; sur le plan extérieur, il gagne la sympathie des pays du Commonwealth, ardents adversaires de |’Apart- heid. Cette issue était connue avant Vouverture officielle de la conférence. Il ne fallait pas ’ s'attendre 4 un quelconque coup de théatre, tant il est vrai qu’en matiére diplomatique, les dos- siers sont préétablis et les scénari ficelés d’avance. ‘Doit-on pour autant faire la fine bouche, se laisser gagner par la déception? Non. N’oublions pas que tous - Grande-Bretagne -front raisonnement est. comprisé ont décidé, a Vancouver, di’accroitre l’aide délivrée aux pays de la ligne de victimes des assauts sud-africains. Mieux : le Mozambique (qui ne fait pas partie du Commonwealth) béné- ficiera des largesses du grand argentier qu’est le Common- wealth pour reconstruire une ligne de chemin de fer et protéger le port de Maputo contre «l’agression sud-africaine». D’autres mesures ont été adoptées par tous les pays, a l’exception de la: Grande-Breta-, gne, comme par exemple la création d’un comité de huit membres réunissant les ministres des Affaires étrangéres de l’Australie, de la Guyane, de lInde, du Nigéria, de la Tanzanie, de la Zambie, du Zimbabwe, sous la présidence de Joe Clark pour le Canada. Ce comité «guidera» l’application de nouvelles mesures pour lutter contre l’Apartheid. Le Canada, pour sa part, n’exclut pas de prendre trés rapidement des sanctions économiques envers Prétoria. La Grande-Bretagne seule contre tous : ainsi pourrait-on résumer l’épisode des sanctions économiques, centre nerveux du dossier sud-africain. Ainsi mar- ginalisée, la délégation britanni- que a fort mal réagi, insinuant vendredi dernier que le Canada développait ses relations écono-. miques avec l'Afrique du Sud. Ce solo aigri a déclenché un concert de protestations. Bob Hawke, le Premier ministre australien, a parlé de «désinformation» et Robert Mugabe, le Premier ministre du Zimbabwe, de «malhonnéteté». D’autres n’ont -€u que sarcasmes pour Margaret Thatcher. Ces paroles d’un genre peu courtois prouvent que la lutte autiapartheid prend forme. Que la Grande-Bretagne demeure obstinément a l’écart n’est pas dramatique. Au contraire, Van- couver 87 nous aura appris que le Commonwealth est encore capa- ble de prendre des décisions contre l’avis du grand frére britannique. Les pays du Commonwealth ont certainement gagné en maturité, a défaut d’avoir remporté leur pari convaincre Margaret Thatcher. Mais aprés_ tout, comme le dit fort justement le proverbe chinois, Ceux qui n’ont pas d’objectifs ne risquent pas de les attezndre. Ou trouver Le Soleil? ~ Le Soleil de Colombie se trouve maintenant en vente dans ces différentes locations: }: ® La Madrague, boucherie francaise du Marché Granville sur lle Granville © La Librairie frangazse, 795 - 16éme avenue ouest *e Manhattan Books Store, 1089, rue Robson © European News, 1136, rue Robson : © Universal News, 132, East Hastings © Piccadilly, tabagie de l’hétel Vancouver j © Mayfair News, 1535 Broad- way ouest e VIP, News and Gift Store, 2440, rue Granville ° La Mouette, librairie fran- cophone, 3451 rue Chatham, Richmond e Dans les trains Via Rail en partance de Vancouver -EN BREF... Blographie de Pinsonneault en chantier "Je ne pense pas avoir rencontré quelqu'un d'aussi convaincu et d'aussi tenace", disait récemment de Roland Pinsonneault 4 André Deschamps, le rédacteur en chef de l'Eau Vive de la Saskatchewan, sa biographe "officielle", Claudette Gendron, avant son départ de cette province des prairies pour la capitale nationale: Mme Gendrona _ regu une bourse du Conseil des Arts pour la rédaction de son ouvrage qu'elle espére achever en septembre de I'an prochain. Roland Pinsonneault "patriarche du monde fransaskoise" habite Régina et il est ie président actuei de l'Association de la _ presse francophone hors Québec basée a Ottawa. Un nouvel auteur aux Editions Louis Riel Vient de paraitre aux Editions Louis Riel de Régina le titre "Une romance franco-canadienne” de Myo Kapetanovich, professeur de littérature francaise a la Faculté St- Jean de l'Université de l'Alberta & Edmonton. ii s‘agit d'un livre consacré a l'oeuvre de Il'écrivaine Gabrielle Roy en général. L'auteur y expose son point de vue sur l'orientation idéologique de cette oeuvre, a l'encontre de tout ce que la critique précédente avangait 4 son propos. INFO: Editions Louis Riel, Case postale 3663, Régina (Saskatchewan) S4P 3N8. iv directrices Conseil de la radiodiffusion et des télecommunications canadiennes Canadian Radio-television and Telecommunications Commission les stéréotypes sexuels» que dans |’ Association can: Canada LLL LLL ORTC CRTC - Avis public 1987-225. Les lignes directrices révisées de l'ACR relatives aux stéréotypes sexuels. Le 22 décembre 1986, dans l’avis public CRTC 1986-351, le Conseil a publié sa Politique relative aux stéréotypes sexuels dans les médias de la radiodiffusion. Les «Lignes directrices volontaires de la radiodiffusion privée sur ienne des radiodiffuseurs (l’ACR) avait élaborées en 1982 comptent parmi les différentes questions débattues aux audiences. Dans cet avis, le Conseil a souligné qu'il considérait que les lignes directrices pourraient étre améliorées. Le 19 juin 1987, l’'ACR a soumis les lignes i Sere au Conseil dans le cadre de son «Code d’application volontaire concernant les stéeéotypes sexuels a la télévision» et le «Code d’application volontaire concernant les aoihaathe sexuels a la radio». Le Conseil invite maintenant les parties intéressées 4 soumettre des observations I directrices susmentionnées. Les parties intéressées peuvent examiner les codes de |'ACR 4 la lumiére des questions soulevées dans I’avis public CRTC 1987-9 intitulé «Lignes directrices applicables a |’élaboration de normes de l'industrie». Les observations doivent étre soumises par écrit au plus tard le 13 novembre 1987 au. Secrétaire général, CRTC, Ottawa (Ont.), K1A ON2, (819) 997-0318. : ites au sujet des lignes hemi et Tt ett PB Totetaee. | i p pr