-0Eéste Dans cette fable qu'est notre vie tout au Long de son cheninenent 12 nous est donne une foute de conseils, une foule de Lecons Dont L'humain, ou par sa Lenteur a comprendre ou par son entétenent Se refuse de tina vite profit, préfernant conserver vives ses illusions. Le souvenir d'un clair matin d'été ou d'un ciel d'hiver immaculé, | La complicité de deux @tres qui alors partageaient une douce sensation oa | 12 n'en faut pas plus pour resceussiter, en nous, L'espoin et retrouver | Ce godt nouveau pour Le débat, quitte a défier une fois de plus notre raison. Cet instinct de conservation propre a L' homme qui poursuit son idéal Refait surface tant et aussi Longtemps qu'il est apte a contourner Nombre de situations et differents qui se jouent de son moral Les ayant mille et une fois vecus pour ensuite 4'en accommodenr. Vient un jour Le temps od La frustration et La fatigue d'attendre Font monter en nous la colere qui réveille Les mots qu'on redoutait a dine Bien que 1244045424 A chaque blessure nouvelle, peut-ttre dans L' espoin d'entendre Une parole douce et rassurante pewnettant de mieux nous contenir, Tout ce dilenme est engendré par La peur d'avoir encore Echoué.., La peur de reconnattre que Le passé n'existe plus et ne reviendra jamais Alors qu'on aurait espiré qu'il resurgisse une fois La frayour dissipée Pour nous encourager a poursuivre, cet idéal qui nous hantact. s On en vient alors a blamer puis a maudin Le Ciel de nous L'avoin fait connaitre Puisqu'on aboutit un jour devant LA FIN parce que trop Epuisé, Trop meurtri pour reprendre la bataille désinant plus que tout disparatine Pour ne pas avoin a revivre cette experience quand on avait TOUT misé! Diane 1] janvier 1984 wae ——L A PASSIONARIA wee mn il surgit 14 devant moi €t--je me quitte d'un seul bond me trouve sous sa peau dans son coeur dans ses os gonflée de son air liquide de son sang enchantée je chante m4 fougue et foudre les larmes et les déchirures” mélange en miel et citron de cette vie vivante a vif © la téte oscille non non a la fadeur OU suis-je emb ranche-moi Qui suis-je c'est l'automne de mes plumes je voltige en tourbillon l'air se moule autour de ta maniére la riviére A mes berges la terre a ton arbre dans la glaise moulée et démoulée jusqu'aux bords- du possible Anom-Yme