ACTUELLEMENT AFFNO OCTOBRE 2015 ANNE GLOVER (de la page 4) Premiérement, j’ai lu une histoire (Hugo le Pirate) aux enfants; oui en frangais, mais j'ai fait la traduction pendant Vhistoire. Puis, Anne Glover a fait son spectacle pour presque une heure. Sa présentation s’est fait en deux langues — le francais et l’anglais. Probable- ment au moins la moitié des enfants présents n’ étaient pas en immersion frangaise; quand méme, chaque enfant a eu la chance de profiter et de s’amuser un peu. Anne Glover, comme vous savez (elle a fait des ateliers et des spectacles a Haida Gwaii et Prince Rupert en mai), raconte des histoires en se servant d’une simple boucle de ficelle. Glover a aussi visité des écoles a Terrace pendant la premiére semaine d’octobre. AFFNO était trés content de rencontrer des nouveaux francophones qui vivent maintenant a Smithers, et nous espérons qu’ils vont tous venir ia Ace “I i | t md poy? ef sk LT ie iis mae’ Patrick Witwicki photo Les spectacles d’Anne Glover sont pour tout le monde (les adultes, et aussi les petits) -- et elle raconte ses histoires en deux langues (anglais et frangais). en mars quand nous les inviter- ons 4 notre deuxiéme événe- ment sur la montagne Hudson Bay (la date sera annoncer en janvier; Hudson Bay n’a pas encore annoncer |’horaire pour la saison 2015-16). AFFNO veut remercier Wendy, la Directrice de la bibliothéque, et tous nos bénévoles 4 Smithers. Wendy nous a dit que l’événement a eu la plus grande participa- tion que jamais, méme plus nombreuse que pour la visite (décembre 2014) du Pére Noél! Joyeux Noél a nous! LE MOT (de la page 3) Les deux festivals, en 2015, ont été plus grands jamais, avec une salle comble a Ru- pert, et plus de 350 personnes a Terrace en juin. Notre levée de fonds aussi augmente en popularité, et vous étes tous invité de vous joindre a nous le 7 novembre pour la prochaine (voir l’annonce a la page 11). Mais aussi, on continue de former des partenariats impor- tants partout dans notre région. Probablement le partenariat le plus important est avec Hecate Strait; sans eux, notre exis- tence souffrirait, j’en suis str. Avec le nord-ouest (par- ticuliérement Rupert, Terrace, et Kitimat) en plein essor, la chance de travailler avec les nouveaux arrivants franco- phones va aider notre associa- tion a continuer a s’agrandir dans le futur. Notre partenariat avec la bibliothéque de Kitimat est aussi important et ensemble nous travaillons a ranimer notre festival 4 Kitimat. En plus nous avons formé des partenariats partout dans le nord-ouest avec les groupes de CPF (Canadian Parents for French). Nous avons encore du travail a faire pour es- sayer d’ajouter le programme d’immersion frangaise a l’école secondaire de Smith- ers, et de protéger ce méme programme 4a Hazelton et Skidegate. Quand méme, on a aidé CPF Rupert dans une situ- ation avec les professeurs d’immersion en 2014; ona aidé CPF a Terrace, Kitimat, et Hazelton de convaincre le Conseil Scolaire de Coast Mountain de changer leur idée d’imposer un frais a nos étudiants en immersion pour le transport en autobus scolaire (méme chose en 2014), et en retour, on s’est joint a eux pour faire du bénévolat dans nos communautés : Halloweenfest a Terrace, le Centenaire de Smithers en 2013, et plusieurs levées de fonds (au bénéfice des deux groupes) a Rupert. Nous avons commencé a améliorer nos relations avec les Autochtones dans notre région. En 2014, on a présenté des cartes éclaires trilingues pour l’école John Field (maintenant Ecole Majagaleehl Gali Aks) a Hazelton, et aussi pour la communauté de Prince Rupert. Les discussions entre nous et la nation Haida ont commencé méme si il y a encore du travail a faire de ce cété-la. Finale- ment, pour la premiére fois depuis notre existence a Kiti- mat, on a plus de 60 membres entre Haida Gwaii et Houston. Alors, oui, c’est le temps de célébrer, mais on ne peut pas lacher. La guerre contre DELF fait seulement commencer, on-va faire ce qu’on peut pour étre sir que le certificat de DELF ne remplace jamais le certifi- cat de l’immersion francaise dans nos écoles. On a besoin de trouver beaucoup plus d’histoires de succés avec la langue fran- caise, comme |’histoire a la page 6 (oui, |’histoire était dans notre journal en juin, mais nous avons décidé que c’ était important de le republier), pour que tout le monde dans notre région — les francophones, les francophiles, et TOUS les con- seil scolaires — comprennent l’importance d’étre bilingue (ou en cas échéants, trilingue). Et on doit trouver une fagon (ou deux ou trois) de raviver la popularité de notre festival a Kitimat en février. Mais aprés 15 années de succés, je peux vous promettre que pour AFFNO, pas de prob- léme — on peut le faire. Correction —- ON VA LE FAIRE.